Mais qu’elle est assez interdite par cet verset du premier Pseaume : Heureux celuy qui n’a pas cherché le conseil des impies, qui ne s’est point opiniâtré dans le chemin des pecheurs ; qui ne s’est point assis dans la chaire de pestilence. […] Que je serois heureux si ce Discours arrivoit jusqu’aux personnes capables d’apporter quelque ordre à ces abus, ou par leur autorité, ou par leurs remontrances. Que je serois heureux, si je contribuois par ce Discours à une reforme, & à un établissement, pour qui je n’épargnerois pas mon propre sang.
Leur regne ne fut ni plus heureux, ni plus long. […] Elle fut heureuse d’avoir son théatre en Angleterre, où les esprits plus sérieux s’occupent peu des foiblesses des femmes. […] Le succès ne fut pas heureux pour lui.
Je n’en serois pas moins heureuse ; A la comédie j’irois, Mon rôle même j’y jouerois.
M. de Belloi, éclairé par les éssais & par les réfléxions de ce grand homme, a composé de nos jours un Poème qui ne doit peut-être son prodigieux succès qu’à l’heureux choix de son sujet, pris au milieu de la Nation.
Bien heureux est l'homme qui n'est point allé dans le conseil des impies, qui ne s'est point arrêté dans la voie des pécheurs, et qui ne s'est point assis dans la chaire de pestilence.
SAINT AMBROISE ARCHEVEQUE DE MILAN, Dans le traité de la suited du siècle Adam n'eût point été chassé du Paradis, s'il n'eût été séduit par la volupté ; c'est pourquoi David, qui avait éprouvé combien les regards sont dangereux, dit avec raison, que l'homme est heureux lors que le nom du Seigneur est toute son espérance, et qu'il n'a nul égard aux vanités et aux folies trompeuses du siècle.