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283. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE IV. Des Pièces pieuses. » pp. 68-95

C’est sans doute une confiance héroïque en Dieu, et si ce n’est pas de la morale la plus sévère, ce sont du moins des prodiges admirables de cette grâce victorieuse, que Racine faisait profession de croire, et que son fils a si bien chantée.

284. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE III. Est-il à propos que les jeunes gens aillent à la Comédie ? » pp. 55-83

) pour confirmer sa juste aversion des spectacles, rapporte la catastrophe du fils d'un Magistrat, à qui son père, qui lui destinait sa charge, avait donné la plus belle éducation, mais dont la fréquentation du théâtre fit un débauché.

285. (1804) De l’influence du théâtre « DE L’INFLUENCE DE LA CHAIRE, DU THEATRE ET DU BARREAU, DANS LA SOCIETE CIVILE, » pp. 1-167

NDA Ceci rappelle le trait de l’empereur dont parle Racine le fils, dans son poème de la Religion : « Au plus juste courroux qui peut s’abandonner, Quand le prince lui-même apprend à pardonner ? […] NDA Epître de Racine (fils), sur l’abus de la poésie. […] Si jamais dans l’état ma voix pouvait être comptée pour quelque chose, j’insisterais fortement pour que la police veillât sans relâche à nous épargner ce scandale, qui me paraît révoltant dans un pays essentiellement catholique, et dont naguères encore le souverain était appelé fils aîné de l’église romaine.

286. (1694) Réfutation des Sentiments relâchés d'un nouveau théologien touchant la comédie « Réfutation des sentiments relachés d'un nouveau Théologien touchant la Comédie. » pp. 1-190

Hubert qui est plein de vie, et qui a renoncé au Théâtre depuis longtemps, pour passer le reste de ses jours dans des exercices continuels de piété, soit qu’il demeure dans la solitude de Suresnes, où il mène une vie d’Anachorète peu différente de celle de MM. les Directeurs du Mont Valérien, ou des Ermites ; soit qu’il demeure à Paris, où il édifie son prochain par sa charité et par son assiduité à sa Paroisse ; et par le sacrifice qu’il a fait de son fils unique au service de Dieu et de l’Eglise : afin que ce fils achève de réparer dans la sainteté de son état ce qui aura échappé à la pénitence du père. […] Mais faites réflexion que ce sont des personnes baptisées et Chrétiennes, des âmes chères à Dieu, rachetées par le Sang précieux de son Fils unique, et qui cependant par leur profession renoncent entièrement aux vœux de leur baptême, par lesquels ils avaient renoncé aux pompes de Satan. « Omnes qui in Christo baptisati estis, Christum induistis.

287. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE III. Extrait de quelques Livres.  » pp. 72-105

Pour qui inspire-t-on de la pitié, puisqu’on n’en donne point pour un mari égorgé par sa femme, pour une mere assassinée par son fils ?

288. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre II.  » pp. 37-67

Britannicus étoit fils de cette Princesse, ignoroit-il l’assassinat de sa mere, connu de toute la terre ?

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