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83. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI.  » pp. 193-217

Dans la condamnation du luxe des femmes S.  […] Les Dames Romaines, & avant elles les femmes Grecques s’en paroient. […] Ce ne fut d’abord qu’un habit de femme pris du théatre par vanité. […] Des femmes on en fait des hommes par l’impudence & la débauche, & des hommes on en fait des femmes par la molesse & le luxe. […] C’est d’abord la tête d’une belle femme.

84. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE III. Théatre de S. Foix. » pp. 52-75

Ce théatre, qui contient une vingtaine de pieces, la plupart en un acte, est proprement le théatre des femmes ; on auroit dû l’intituler, Théatre de Madame de S. […] C’est moins un homme qu’une femme qui parle à des femmes ; mais c’est une femme d’esprit, une femme agréable, qui conserve un vernis de modestie pour se rendre plus piquante, & par une parure d’une négligence affectée, donne à une imagination libertine la plus libre carriere. […] Dieu crée la femme, la mène à l’homme, l’unit par le mariage. […] La femme est séduite par le serpent, elle entraîne l’homme dans sa chûte ; ils en rougissent, sont déchirés de remords ; Dieu se montre, les condamne, les punit & toute leur postérité. […] Dans le Deucalion & Pyrrha versifié, car il y en avoit un en prose, Deucalion, à la vue d’une belle femme, s’écrie : Que de charmes, grand Dieu !

85. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [R] » pp. 447-466

Deseine, femme de Quinaut-Dufresne, Tragédienne ; 1724-1735. […] Dubreuil, femme du Comédien, 1721-1745. […] Duchemin, femme du Comédien ; retirée en 1726. […] Poisson, femme du même, 1730-1741. […] DESMARES, grande femme ni belle ni laide, qui joue plus mal que bien.

86. (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VII. Autre suite de diversités curieuses. » pp. 173-202

Moliere le sur, & la ridiculisa dans ses femmes savantes, avec ses amis Cotin & Menage. […] Les femmes ont du feu en leur face, leurs regards, leurs paroles. Le Diable se sert en danse de la plus forte armure qu’il ait ; les femmes sont les plus fortes armes. Il élut la femme pour décevoir le premier homme. […] Par la femme il fit pécher Samson, David, Salomon.

87. (1758) P.A. Laval comédien à M. Rousseau « P.A. LAVAL A M.J.J. ROUSSEAU, CITOYEN DE GENÈVE. » pp. 3-189

Une femme aimable et; vertueuse tout à la fois ! […] Quelle est, s’il vous plaît, la raison du peu de connoissances des femmes ? […] Je ne sais ce que vous entendez par les femmes du meilleur air. […] Parlons maintenant des coteries entre les femmes. […] » Est-il donc nécessaire qu’une femme dise du mal si elle n’en fait pas ?

88. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE V. Suite du Théatre de S. Foix. » pp. 105-139

Comment le pourrai-je, répondit Lunel, nous ne l’avons ni moi ni ma femme. […] On les appeloit Femmes amoureuses, folles de leur corps. […] Les femmes n’étoient pas en sureté en passant près des Abbayes. […] faut-il la décrier comme on a fait la pauvre Margueritte, femme d’Henri IV ? […] Mais tandis que les femmes gouvernèrent, ces peuples furent vainqueurs.

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