eux à qui Jésus-Christ avait dit si expressément, que les joies du monde n’étaient pas pour les disciples de la Croix ; eux à qui ce Divin Sauveur avait recommandé de se tenir sur leur garde, de veiller et de prier sans cesse ; eux qui brûlant du désir du Martyre, ne se trouvaient parmi les Païens que pour y prêcher l’Evangile ? […] , que les spectacles, les jeux et les danses sont illicites au moins en ces saints jours, et que l’opinion de ceux qui restreignent la prohibition de ces choses au temps des divins Offices, doit être rejetée comme une invention de l’esprit humain et particulier. […] Ils disent dans cette Requête, qu’ils payaient cent écus de rente à la recette du Roi pour le logis, et trois cents livres tournois de rente aux enfants de la Trinité, tant pour le Service divin, que pour l’entretien des Pauvres. […] Pour l’abolir, on ordonne dans la Province Ecclésiastique de Tarragone, de faire cesser le Service Divin, lorsque ces folies se feraient. […] » Il veut qu’on ne fasse pendant les Fêtes ni jeux, ni danses, ni rien de ce qui peut offenser la Majesté Divine.
C’étoit grand dommage, car toutes ces Dames étoient des beautés parfaites, des danseuses admirables, des chanteuses charmântes, des actrices divines. […] Il fait beau voir toute cette belle troupe de Dames & Demoiselles en Actrices, plutôt divines qu’humaines.
dit Bossuet. » Un Consesseur donneroit-t-il une grande confiance à son malade, si en lui présentant à l’article de la mort le Crucifix, il lui disoit,… Voilà ce Jesus, cet aimable Sauveur, qui est mort pour vous, voilà ce divin Maître, pour l’amour duquel vous avez été tant de fois à la Comédie ? […] Il est impossible qu’elle passe jamais les bornes de cette autorité divine.
., diroit l’un, étoit si visiblement Divine, si sa conduite étoit si sainte, si son cœur étoit si bienfesant, comment a-t-on pu soutenir que ses miracles étoient diaboliques ? […] si le duel est si contraire aux loix Divines & Royales, comment a-t-il encore tant d’apologistes & de partisans ? […] Quelque irréguliere que tuisse être la conduite de quelques-uns de mes Ministres, nous dit ce Divin Maître ; la Doctrine qu’ils vous enseignent, ne doit rien perdre par leur vie scandaleuse.
Je vous avouerai, dit-il, que depuis quelques années j’avois beaucoup à souffrir intérieurement d’avoir travaillé pour le Théatre, étant convaincu, comme je l’ai toujours été, des vérités lumineuses de notre Religion, la seule divine, la seule incontestable.
Je vous avoue, Monsieur, que tout cela devient bien incompréhensible, quand on a lu le portrait divin et presque magique que vous faites de la pudeur.