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254. (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Traité de la comédie et des spectacles » pp. 1-50

Saint Augustin assure que celui qui danse le Dimanche fait un plus grand péché que celui qui laboure la terre.

255. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre I. Est-il à propos que la Noblesse fréquente la Comédie ? » pp. 3-19

Louis XIV ne parut plus sur le théâtre, et ne dansa plus dans les ballets, quoiqu’il aimât la danse et qu’il dansât bien.

256. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre V. Autres Mêlanges. » pp. 121-140

Malgré la magnificence des habits & des décorations, la sublimité des talens, des ouvrages, de la danse, de la musique, la noblesse de la compagnie, ils sont obligés de se rapprocher des treteaux par leurs farces.

257. (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE V. Réforme de Fagan. » pp. 110-128

L’action, le mélange des sexes, les passions vivantes, les gestes efféminés, les chants, les danses, n’est-ce qu’une lecture ?

258. (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Premiere lettre de Mr. *** à Madame *** sur les spectacles » pp. 3-59

Cette discipline s’est exactement conservée dans l’Orient, & Balsamon, Patriarche d’Antioche, écrivain du douxieme Siécle, dit, que tous convenoient, que l’Eglise défendoit aux Chrétiens les jeux & les danses des Comédiens sur le Théatre. […] Enfin Aristhêne, autre sçavant canoniste Grec du douxieme Siécle, certifie que l’Eglise condamne toutes les danses, & les comédies des farceurs & Comédiens.

259. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre IV. Fêtes de Théatre. » pp. 95-114

(réflexion ridicule, il y a peut-être deux ou trois femmes d’Officiers François) Le séjour des François opere des grands changements dans les mœurs : les festins, les danses, les comédies ont succédé aux horreurs de la guerre ; ce prodige a été opéré par le caractère (frivole & libertin) d’une nation qui répand par-tout l’amour du plaisir : Incidit in Scyllam cupiens vitare caribdim.

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