L’Auteur de la vie de Moliere convient de tous ces défauts, des grossieretés des valets ; de l’excès du gentilhomme, du libertinage scandaleux de la femme, dont les démarches criminelles tournent toûjours à son avantage, en sorte qu’on est tenté d’imiter sa conduite, toûjours heureuse, quoique toûjours coupable. […] Riccoboni dans ses observations sur Moliere, dont il est admirateur, convient de ces défauts essentiels contre les bonnes mœurs.
Sans doute les exercices militaires ne leur conviennent point ; elles ne pourroient que déranger, amollir, intimider les armées, comme Cléopatre fit perdre à Antoine la bataille d’Actium. […] Martin jusqu’à la sainte semaine, en baillant par les Masques leur grivelée ; lequel temps passé, s’ils ne payent le prix convenu, ils seront privés des privilèges de masquerie, & déclarés inhabiles de jamais masquer, & permis aux Marchands de les poursuivre par placards, cadelures, & autres voies dûes & raisonnables.
Ciceron dans son Livre de l’Orateur nous apprend l’attention qu’il avoit à placer les pieds qui conviennent au commencement, au milieu, & à la fin d’une Période, & il nous rapporte que cette Phrase, Patris dictum sapiens, temeritas Filii comprobavit, fut, quand il la prononça, extrêmement applaudie, à cause du Dichorée qui la termine. […] Il est admirable, suivant Denys d’Halicarnasse, à cause de cet anapeste qui convient aux grandes choses, & est propre à exciter les grandes Passions : & pouvons-nous seulement, lorsque nous lisons cet excellent Critique, entendre tout ce qu’il dit sur l’usage des demi-voyelles ?
Convenons-en de bonne foi, si tout le génie de Sophocle & de M. de Voltaire n’a pu rendre leur artifice vraisemblable, des Auteurs, qui n’ont ni leur tact ni leur esprit, y réussiroient-ils ?
Quoi qu'il en soit, ce nom qui dans l'intelligence véritable de sa propre signification ne convenait qu'à ceux qui s'occupaient aux Jeux Scéniques, passa depuis à tous les autres qui représentaient quelque chose sur la Scène, et qui dans la suite des temps furent mêlées à la célébration de cette Fête, pour la rendre plus pompeuse ou plus agréable.
, comme Pline s'en explique, en ajoutant les mots de Pantomimes et d'arts efféminés ; car cela ne convient qu'à ces impudents qui dans leurs actions donnaient des images des plus lâches et des plus honteuses pratiques de la débauche.