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144. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI.  » pp. 193-217

On traîne des queues aux nôces des Princes, comme aux funérailles ; au théatre, en jouant la farce, comme à la Tournelle en condamnant à mort ; au bal masqué en Magistrat, comme aux processions avec le corps de la Magistrature ; on se déguise même souvent au théatre en prenant une robe de Palais, & la longue queue n’est pas une des moindres parties de la farce.

145. (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VI. De l’indécence du Théatre. » pp. 114-137

Il veut que les Magistrats ne souffrent pas non plus les mascarades, charivaris, bals nocturnes, laquel licentia non deva recatar el Corregidor.

146. (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE III. Des Comédies de ce temps, si elles sont moins mauvaises et moins condamnables que celles du temps passé. » pp. 55-81

Et courir tous les bals, et les lieux d’assemblées…  Leur donner liberté de voir les Damoiseaux, Et se faire par eux apporter des cadeaux.

147. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre II. Discipline du Palais. » pp. 26-50

Cet Auteur avance qu’il est également défendu aux Magistrats d’aller au bal et aux danses, si ce n’est tout au plus aux noces de leurs plus proches parents (L.

148. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre III. Jurisprudence du Royaume. » pp. 51-74

Les grands Seigneurs solennisent leurs fêtes en donnant la comédie au public, et dans les occasions importantes les Comédiens font au public la galanterie de lui donner le bal et la comédie gratis, et Brioché les marionnettes, à peu près comme sur le Pont-Neuf le gros Thomas montre sa joie pour la convalescence de quelque Prince, en arrachant les dents gratis.

149. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VIII. De l’excommunication des Comédiens. » pp. 176-199

Les Comédiens représentaient que ce spectacle, quoique étranger, tronqué, passager, leur faisait tort, en diminuant le nombre des spectateurs, qu’ils n’avaient pas besoin de lettres patentes, que dans les plaisirs du Roi, bal, comédie, etc., il suffit que le Prince marque son goût, sans aucune formalité.

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