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56. (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « LA PREMIÈRE ATTEINTE CONTRE CEUX QUI ACCUSENT LES COMÉDIES » pp. 1-24

En tout ce qu’il a dit pour reprendre les actes indignes et les abus qui se sont commis lors que le monde était en la plus obscure nuit de ses ténèbres, et l’idolâtrie au dernier degré de l’erreur, aucun Catholique n’y veut contredire, ayant la vérité pour guide, et la vertu pour fin, ils y ajouteront encore ; mais il apprendra s’il lui plaît que leur intention ne fut jamais de représenter aux fêtes des Saints les jeux des Païens pour faire revivre leurs abominations. […] Au Concile d’Auxerre tenu sous le Pape Dieudonné, canon premier, commande qu’on ne fasse ni jeux, ni charmes, ni actes diaboliques. […] Mais si elle est selon Aristote un acte continuel, son être est en son action, et ne peut avoir autre repos que la joie qu’elle reçoit par les deux plus nobles et excellents messagers, qui sont les yeux et les oreilles; par l’œil elle juge les couleurs, par l’oreille les paroles.

57. (1825) Encore des comédiens et du clergé « TABLE DES CHAPITRES ET ARTICLES CONTENUS DANS LE PRESENT VOLUME. » pp. 7-9

Actes de fanatisme et avanies exercés par quelques prêtres, contre les Comédiens français.

58. (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXV.  » p. 484

C'est pourquoi les Chrétiens ne pouvant pas passer toute leur vie dans l'acte de la prière, sont obligés au moins de se renouveler de temps en temps devant Dieu : et comme c'est par ces prières actuelles qu'ils entretiennent celle qui doit être toujours dans le fond de leur cœur, ils doivent éviter avec un grand soin tout ce qui peut rendre leurs prières indignes d'être présentées devant la divine majesté: ce qui les oblige non seulement d'éviter les distractions qui leur surviennent dans la prière, mais beaucoup plus les sources des distractions qui remplissant l'âme de folles pensées, la rendent incapable de s'appliquer à Dieu.

59. (1586) Quatre livres ou apparitions et visions des spectres, anges, et démons [extraits] « [Extrait 3 : Livre VI, chap. 15] » pp. 663-664

qui fournit ses actes de vaines Images d’Ames pour étonner les Auditeurs, n’a point craint de dire que « οὐκ ἐστὶ τοὺς θανόντας εἰς φάος μολεῖν », et aurait bien encore dit davantage, « οὐ γὰρ ἀνάξεις πότʹ ἐνερθεν κλαίων τοὺς φθιμένους ἄνω ».

60. (1824) Du danger des spectacles « INTRODUCTION. » pp. 1-3

La nécessité de cet examen est d’une importance d’autant plus grande, que c’est d’après nos actes, comme d’après nos principes, que nous devons être jugés.

61. (1675) Traité de la comédie « XXV.  » pp. 314-316

C'est pourquoi les Chrétiens ne pouvant passer toute leur vie dans l'acte de la prière, sont obligés au moins de se renouveler de temps en temps devant Dieu : et comme c'est par ces prières actuelles qu'ils entretiennent celle qui doit être toujours dans le fond de leur cœur; ils doivent éviter avec un grand soin tout ce qui peut rendre ces prières indignes d'être présentées devant la Majesté divine, ce qui les oblige non seulement d'éviter les distractions qui leur surviennent dans la prière, mais beaucoup plus les sources de distractions qui remplissant l'âme de folles pensées, la rendent incapable de s'appliquer à Dieu.

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