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122. (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE III. Réformation de l’Abbé de Blesplas. » pp. 55-81

Un Comédien n’est pas déclamateur : Moliere, Racine, Baron, la Clairon, sont-ils des déclamateurs ?

123. (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE XII. De la Déclamation Théatrale des Anciens. » pp. 336-381

Toute Piéce de Théâtre pouvoit être intitulée à Rome Tragédie-Ballet ou Comédie-Ballet, de même que Moliere a intitulé le Bourgeois Gentilhomme, Comédie-Ballet, & Psiché Tragi-Comédie-Ballet, & de même qu’un Ouvrage de Symphonie de Lulli, est intitulé, Armide, Phaéton, &c.

124. (1789) Lettre à un père de famille. Sur les petits spectacles de Paris pp. 3-46

Vous les avez conduits aux tragédies de Corneille, & de Racine ; ils ont vu jouer Moliere ; mais votre sagesse ne vous a pas permis de leur laisser voir toutes ses comédies.

125. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VIII. Anecdotes illustres du Théatre. » pp. 186-214

Mais cette défense vint à contre tems pour la France ; c’étoit le tems de la grande vogue de Moliere, & de la grande faveur de Madame de Montespan.

126. (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE VII. Du Père Porée. » pp. 149-177

Tel fut le crime du chef inimitable des Auteurs & des Acteurs comiques, Moliere, aussi grand par l’art que par la nature, mais aussi vicieux par tous les deux, nuit autant qu’il excelle ; car le meilleur maître, s’il enseigne le mal, est le pire de tous les maîtres.

127. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre II.  » pp. 36-74

Ces monstres ont passé en proverbe, on dit d’une personne qui attrape tout ce qu’elle peut, c’est une harpie, de là est venu le nom de harpare que Plaute donne aux avares, d’où Moliere dans l’avare a tiré le nom d’harpagon.

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