Quinault, ce pere de la Poësie lyrique, s’est aussi repenti, d’avoir travaillé pour les spectacles, & à baigné de ses pleurs, les lauriers, qu’il devoit plus au génie, qu’au travail. […] Il abjura ses travaux couronnés, & déclara les maximes de ces sortes d’ouvrages, diamétralement opposées aux maximes du Christianisme.
13. de la Sagesse remercie Dieu comme d’un grand bienfait, d’avoir préservé son Peuple du poison de la peinture & de la sculpture, dont il appelle les ouvrages une ombre vaine, un travail sans fruit, umbra picturæ, effigies, labor sine fructu ; mais dont la vuë empoisonnée fait naître le désir, excite la passion, enflâme la concupiscence, & conduit au péché, cujus aspectus dat concupiscentiam.
Nous avons souvent parlé des spectacles de la Chine, voici ce que nous apprend de ceux du Tonquin, le dernier & vingt-neuvieme tome des Lettres édifiantes & curieuses, des missions étrangeres des Jésuites, dont le travail utile & agréable est interrompu depuis plusieurs années.
La vivacité de son esprit suppléoit à tout, au temps & au travail, &c.
Il étoit souvent interrompu dans son travail, & importuné dans sa retraite par des seigneurs, des petits-maîtres, qui vouloient s’amuser avec lui.