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277. (1834) Discours sur les plaisirs populaires « Discours sur les plaisirs populaires, les bals et les spectacles » pp. 1-33

A quel titre ?

278. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE I. Du sombre pathétique. » pp. 4-32

Ce héros est un jeune libertin révolté contre sa famille, dont il brûle les titres pour lui faire perdre un grand procès qui la ruine.

279. (1733) Theatrum sit ne, vel esse possit schola informandis moribus idonea « Theatrum sit ne, vel esse possit schola, informandis moribus idonea. Oratio,  » pp. -211

Or, si l’on a égard à ces deux ressorts, il paroît que le Theatre peut devenir une Ecole propre à former les mœurs, & j’ose avancer (avec réserve toutefois, & sans prétendre offenser ni le Philosophe, ni l’Historien) que la Scene peut à ce double titre le disputer à l’Histoire & à la Philosophie. […] Ils ne penserent pas que le nom de Poëte fût un titre stérile dans une Republique : ils sentoient trop la fertilité du genre de Poësie dont ils faisoient profession.

280. (1671) La défense du traité du Prince de Conti pp. -

Ainsi le titre que l’Auteur de la Dissertation a mis à la tête de ce Chapitre, est entièrement détruit : et tout ce qu’il a dit dans les quatre Chapitres précédents, est inutile. […] , de l’un et de l’autre genre, c’est-à-dire, les Jeux sacrés, et les Jeux funèbres, ont une origine commune : Ils ont des titres communs, comme ils ont des causes communes de leurs institutions ; il est aussi nécessaire qu’ils aient des appareils communs, qui sont souillés de la tache générale de l’Idolâtrie qui les a formés. […] Mais la raison de Tertullien est ; parce que les Spectacles sont des ouvrages de la superstition ; parce que les démons en sont les auteurs ; parce qu’ils se font à l’honneur des faux Dieux, et sous le titre de quelque fausse divinité, à laquelle ils sont consacrés ; parce que ceux qui y assistent ayant pris leurs places de bonne heure, assistent aussi aux sacrifices, et aux autres cérémonies de la Pompe des Dieux qui précède l’ouverture des Jeux ; et qu’ainsi c’est se souiller d’Idolâtrie, c’est célébrer les fêtes des Dieux avec les Païens. […] Le seul titre des lois fait connaître cette vérité : car les lois les plus favorables aux Spectacles sont dans le Code de Justinien et de Théodose, sous le titre de Paganis Lib. 1. cod.

281. (1838) Principes de l’homme raisonnable sur les spectacles pp. 3-62

.° Si le titre de Chrétiens dont ils s’honorent, et leurs engagements à cet égard, leur permettent un genre de plaisir formellement opposé à tous les principes de la Religion et de la saine Morale. 2.° S’ils peuvent, sans reproche, concourir à salarier une troupe de gens justement notés pour leurs mœurs, condamnés par l’Eglise, privés même des Sacrements. 3.° Si enfin, osant présumer de leur propre vertu, ils n’ont pas à craindre l’influence de leur exemple sur la faiblesse de tant d’âmes qui s’en prévalent et qui se perdent.

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