Machiavel composa plusieurs comédies qui eurent du succès : elles sont satyriques & licencieuses, c’est le plus grand titre à la gloire dramatique.
Ils s’embarrassent tout aussi peu que je fouille dans les siècles passés pour y déterrer leurs titres, et que je suive les branches de cet arbre généalogique pour compter les quartiers et leurs alliances.
Il disait qu’il fallait que les jeux célébrés en présence du Censeur, se retentissent de sa modestie et de son amour pour la règle : « Castiores esse oportere ludos spectante Censore » ; Car les Empereurs prenaient le pouvoir et quelquefois le titre de cette dignité. […] » C’est au 16e du Code Théodos. titre X. […] » Honorius en usa de même en Occident en faveur principalement des Africains, dans la Loi adressée à Apollodore Proconsul d’Afrique au 16e Livre titre Xe. […] Alexandre d’Alès, sous qui saint Bonaventure étudiait environ l’an 1240. et qui a mérité le titre de Docteur irréfragable, traite la question sans entrer dans aucune supposition métaphysique. […] » Le Rituel de l’Eglise de Metz imprimé en cette Ville en 1605 sous ce titre : Agenda Metensis.
A ce titre ils étoient bien venus, même dans les cours des souverains du temps, alors fort nombreux en France, & fort libertins. […] On pourroit faire une jolie piece sous le titre, l’enthousiasme & l’abandon réunis .
Après avoir annoncé Jupiter sous tant de titres dignes de nos adorations, on le produit sur la Scène pour servir de divertissement. […] Au regard des Anges rebelles, l’Ecriture nous apprend assez leur malheur éternel : elle nous prévient aussi sur leur malice outrée, sur leur pouvoir considérable, sur l’étendue de leurs connaissances, sur leur industrie toujours agissante pour nous perdre : elle nous représente ces esprits apostats sous le titre d’ennemis les plus redoutables du genre humain ; afin que nous soyons sans cesse attentifs à leurs attaques, et que nous les repoussions avec vigueur. […] C’est Gueules sur Gueules en Blason. « Etendez les bras de votre pitié… son zèle peut être à vos yeux un titre pour toucher vôtre pitié. […] Cependant nos Poètes n’oublient rien pour entretenir la méchanceté du siècle, et pour en rassurer le désordre : ils ont fait de la vengeance en particulier, la marque et la distinction de l’homme d’honneur ; ils l’ont érigée en titre de Noblesse et de mérite.