/ 356
25. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [A] » pp. 297-379

Voyons la suite du Règlement. […] Tels furent les premiers Spectacles des Romains, dont les Comédies Atellanes furent une suite : elles étaient connues chez les Peuples d’Italie longtemps avant la fondation de Rome*. […] Dans la suite, lorsque les Romains donnèrent les premiers combats de Gladiateurs, ce n’était pas des coupables condannés, mais des prisonniers de Guerre, postérieurement des hommes qui se vouaient à ce dangereux métier, par zèle pour le bien Public, & dans la suite, sous l’espoir d’une récompense, s’ils demeuraient vainqueurs : la République eût cru s’attirer la colère des Dieux, en leur offrant des victimes avilies par le crime. […] Dans la suite, les Comédies de la Passion furent des espèces d’Opéras à machines, où il y avait aussi de la Musique. […] A la suite de la Note [R] sur les Baladins.

26. (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre premier. Origine des Spectacles. » pp. 1-14

Par la suite, pour réveiller la monotonie de ces chansons, Thespis introduisit un acteur qui faisait quelques récits ; il allait de bourg en bourg. […] Epigène ayant le premier fait jouer un drame dont le sujet était étranger à Bacchus, les spectateurs s’écrièrent : « Il n’y a rien là qui regarde Bacchus » : ce qui devint dans la suite un proverbe que l’on appliquait à ceux qui ne traitaient pas la matière qu’ils devaient traiter. […] Ils avaient à leur suite quelques ménestrels ou jongleurs, qui chantaient sur leurs harpes ou sur leurs vielles les vers des troubadours ou trouvères.

27. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Table des chapitres. »

Suite de l’infamie civile, 125 Chap.

28. (1751) Nouvelles observations pp. 393-429

Ce sera à un petit nombre de Personnes qui, quoique jouissant des délassemens de la Société, respectent la Religion ; A des Personnes qui sçavent que beaucoup de préjugés, dont on croyoit ne jamais revenir, ont néanmoins été détruits par la suite ; A des Personnes, enfin, assez généreuses pour faire valoir, auprès des Puissances, ce qu’elles auront trouvé de juste dans la Cause des Comédiens, & qui détachées d’intérêts personnels, chérissent tout ce qui peut constater la gloire de l’Etat. […] On sçait jusqu’à quel point ces Tournois, qui d’abord ne paroissoient qu’un Exercice Militaire, devinrent par la suite dangereux, & il est innombrable combien de Noblesse y a succombé. […] J’ose remarquer en passant, que si les Théologiens de France, qui voyoient les Princes & le Peuple si amoureux de cet Exercice, eussent représenté dans les Conciles la nécessité de le régler plutôt que de le condamner en général, & que la sévérité des Conciles n’eût tombé que sur ce que l’on appelloit les Combats à outrage & à fer émoulu, ces Jeux, sans doute, n’auroient pas eu des effets ni des suites aussi funestes. […] Devoit-il encore regarder, comme un si grand surcroît d’autorités, les Rituels des Diocèses, puisque les Rituels ne sont qu’une suite naturelle des décisions des Conciles ? […] Nous exposerons, par la suite, les causes de la disgrace des Comédiens chez les Payens.

29. (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — III.  » p. 457

On doit toujours la regarder comme le honteux effet du péché; comme une source de poison capable de nous infecter à tous moments, si Dieu n'en arrêtait les mauvaises suites.

/ 356