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360. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre IV. Fêtes de Théatre. » pp. 95-114

A peine a t-on été maître de la Corse, que le premier soin de ses conquérans a été d’y élever un théatre, & de faite annoncer dans les Gazettes, la nouvelle province ajoutée à l’empire de Thalie.

361. (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VIII. Comédie du Tartuffe. » pp. 161-179

Ce soin que nous prenons de notre renommée Répond de toute chose à la personne aimée.

362. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Septième Lettre. De la même. » pp. 73-99

Nous sommes : être agréablement est le but de tous nos soins, le terme de tous nos vœux, de tous nos appétits : cet ambitieux que vous voyez remper, ne s’abaisse que parce qu’il espère parvenir par-là, à maîtriser : il semble qu’il essaye jusqu’où il pourra ravaler un jour impunément la triste humanité : l’avare qui se refuse le nécessaire, ne le fait que parce qu’il a mis tout son bonheur plutôt dans le pouvoir de goûter les plaisirs, que dans leur jouissance : l’Indien & le Japonois qui se déchirent en l’honneur de Fo, espèrent en souffrant des douleurs horribles, se rendre plus sensibles aux voluptés qui les attendent ; ils ressemblent à ces gourmands qui ne se livrent à de violens exercices, que pour exciter vivement l’appétit, & goûter ensuite avec plus de sensualité le plaisir de le satisfaire.

363. (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE II. Réflexions sur le titre de l’ouvrage intitulé : Des Comédiens et du Clergé, et sur les charlataneries littéraires, politiques et religieuses. » pp. 52-86

Si je réalise le projet que j’ai formé de donner aussi une biographie de Bonaparte, j’aurai soin, sans doute, que les ombres, si nécessaires à la perfection d’un tableau, y soient ménagées de manière qu’elles puissent servir à faire valoir les traits saillants qui méritent le plus grand jour.

364. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VIII. De la Comédie les jours de fête. » pp. 159-179

Il appelle le jour du sabbat délicat, pour marquer avec quel soin extrême on doit le sanctifier : Sabbatum Domini delicatum.

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