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60. (1639) Instruction chrétienne pp. -132

Esprit excite ès cœurs des Chrétiens : et conclut que Dieu ayant défendu de contrister et inquiéter cet esprit de sainteté ; il ne peut qu’il ne le soitar, où sont excitées les passions, de fureur, de colère, de douleur pour choses de néant, et autres semblables, comme celles d’une joie charnelle, et d’un ris immodéré. […] C’est chose notoire à ceux qui ont lu tant soit peu, et qui connaissent les lois Anciennes, que les comédiens, bateleurs, farceurs, et joueurs de tours de passe-passe, jongleurs et semblables, ont été notés d’infamie par les lois Romaines, et par les constitutions Ecclésiastiques. […] Pourquoi donc trouve-t-on si étrange, qu’elles soient représentées, ou de semblables, sur le Théâtre ? […] Il y a quelques grandes méchancetés, lesquelles peuvent être nommées, rapportées et reprises, sans intéresserff l’honnêteté de celui qui en fait le récit : comme sont les homicides, les larcins, les adultères, les sacrilèges, et autres semblables. […] Ces imprécations contre le théâtre sont fréquentes chez Jean Chrysostome ; on en trouve une semblable dans l’homélie sur la pénitence, col. 315.

61. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VII. Parallèle du Poème épique avec les Pièces du nouveau genre. » pp. 107-112

Quelques Pièces du Spectacle moderne sont semblables au Poème épique.

62. (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre II. De deux sortes de Danses, dont il est parlé dans l’Ecriture Sainte. » pp. 6-13

Ce qu’ils ont fait par l’instinct du Diable, qui dans le dessein de tromper les hommes, et les perdre, et par l’ambition qu’il a de se rendre semblable à Dieu, et de se faire adorer, a voulu qu’on employât dans l’exercice de la superstition, et de l’idolâtrie, tout ce que les hommes inspirés du S.

63. (1579) De l’Imposture et Tromperie « Livre premier. Des jeux et autres observations séculières retenues de l’ancien Paganisme. Chapitre 22. » pp. 101-107

A cela n’avons-nous pas vu faire quelque chose de semblable de notre temps même aux collèges d’Eglise où les enfants de chœur et les chantres célébraient la fêtes aux fols. […] Tels sont les tournois, jeux d’escrime et autres semblables où cela advient bien souvent de propos délibéré ou autrement, pource quev la nature de tels jeux n’est point de s’entrechatouiller.

64. (1825) De quelques naïves coutumes « De quelques naïves coutumes. » pp. 262-266

Dans un livre semblable, les faits mêmes ne seront pas rapportés sans quelques-unes de ces réflexions, ou du moins de ces épithètes, au moyen desquelles on parviendrait à faire douter de l’innocence des anciennes Druidesses, ou de la sincérité des Marabouts.

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