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326. (1705) Traité de la police « Chapitre premier. Des Spectacles anciens, leur origine, leur division, leurs dérèglements, et les Lois qui ont été faites pour les réformer. » pp. 434-435

Mimes étaient certains Bouffons qui divertissaient le peuple dans les maisons particulières, ou en public, par des postures ridicules.

327. (1731) Discours sur la comédie « TABLE DES MATIERES CONTENUES DANS CE VOLUME. »

Satires, signification particulière de ce mot, 90 Sénèque, caractère de ses Tragédies, 86 Sénèque le Philosophe, ce qu’il pense du Théâtre, 139. 142 Sévère Empereur peu favorable aux Comédiens, 68 Sorbin Evêque de Nevers, ridicule traduction d’un passage Latin, 122 Sosibius Sénateur d’Antioche, laisse tout son bien à cette Ville pour célébrer des Jeux, 55 Spectacles ce qu’on entend par ce mot, 37. défendus les jours solennels, 118. 178. 295.

328. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre I. Des Parfums. » pp. 7-32

Les gens à tabac ont de même sans cesse la tabatière à la main, manie ridicule, jeu puérile comme un enfant qui remue son hochet, & dont par une autre puérilité on veut faire un air d’élégance ; on est enfant à tout âge. […] Cette ridicule préparation du corps des femmes rappele les rafinemens outrés de ces gourmands qui font nourrir la volaille & le gibier avec du lait, du sucre, des pastilles, des gâteaux ambrés & parfumés pour leur en donner le parfum & le goût.

329. (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE III. Des Comédies de ce temps, si elles sont moins mauvaises et moins condamnables que celles du temps passé. » pp. 55-81

Tous ces gens-là ne sont pas bien aises qu’on les tourne en ridicules sur un Théâtre. […] Qu’elle coure par tout, aime l’oisiveté, Et soit des Damoiseaux flairée en liberté. » Sganarelle passe dans l’esprit de ces femmes mondaines pour un ridicule et un impertinant, en voulant les réduire sur le pied où étaient les femmes sages du temps passé.

330. (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE II. De la Tragédie. » pp. 65-91

Avant de m’être procuré l’honneur de connaître M. de Voltaire, la mode de fronder tous ses ouvrages, établie dans tous les cafés de Paris, la commodité d’y recueillir des épigrammes pour en enrichir le texte d’une critique, la rage enfin d’être Auteur et de me faire imprimer, me firent faire une lettre très plate, très ridicule et très sifflable contre la Comédie de Nanine cd. […] Vos traits seront toujours hors de portée ; il n’est donc pas plus ridicule à moi d’entreprendre de le défendre, qu’à vous de l’attaquer ; et puisque je me suis mis en charge, j’entre en fonction et je commence.

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