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96. (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre III. Que les Danses sont défendues aux Ecclésiastiques. » pp. 14-21

Le second défend l'ivrognerie, les ris immodérés, les contes vains et ridicules, les jeux profanes et séculiers, et tout ce qui peut servir à la volupté mondaine.

97. (1715) La critique du théâtre anglais « TABLE DES PRINCIPALES matières. Contenues dans ce Volume. » pp. 494-500

357 L’OPINION DES auteurs tant profanes que sacrés, touchant les Spectacles, 399 Le sentiment des Philosophes, des Orateurs, des Historiens et des Poètes mêmes du Paganisme touchant les Spectacles, 400 Le Théâtre blâmé par les Lois d’Athènes, de Sparte et de Rome, 410, et suiv.

98. (1677) L’Octavius « Paragraphes XXXVI-XXXVIII du texte latin » pp. 159-171

Car quoique rien ne puisse corrompre ce que la Nature a fait naître pour notre usage, et que les présents de Dieu soient inviolables, nous nous abstenons néanmoins de ces oblations profanes, de peur qu’on ne croie, ou que nous cédions aux démons à qui elles sont présentées, ou que nous ayons honte de notre religion.

99. (1772) Spectacles [article du Dictionnaire des sciences ecclésiastiques] « Spectacles. » pp. 150-153

Quoi qu’il en soit, le but, le propre objet des spectacles, n’est autre que d’exciter, de nourrir & d’enflammer les passions, l’orgueil, l’ambition, la haine, la colere, la vengeance, & sur-tout l’amour profane qui paroît sur le théâtre comme une noble foiblesse, & avec tous les agrémens les plus capables de l’inspirer. […] Quels sont les héros des pieces mêmes où l’amour profane ne regne pas perpétuellement ?

100. (1684) Epître sur la condemnation du théâtre pp. 3-8

Si de la belle Esther un Prince est enchanté, C’est sa vertu qu’il vante et non pas sa beauté, Rien du profane amour n’y ressent la licence ; Tout respire en Esther la paix et l’innocence.

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