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277. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre prémier. — Chapitre IV. Histoire de l’Opéra-Bouffon, autrefois Opéra-Comique & ses progrès. » pp. 50-66

Afin de leur en ravir l’honneur, nous allons le chercher jusques dans les prémiers Opéras de Quinault, tels qu’Alceste & Cadmus ; oui, nous prétendons y démêler le genre d’un Spectacle qui nous est si cher.

278. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [G] » pp. 408-415

Quoique ces portiques en fussent entièrement détachés, Vitruve prétend que c’était où les Chœurs allaient se reposer dans les Entr’actes, & où ils achevaient de préparer ce qui leur restait à représenter ; mais le principal usage de ces portiques consistait dans les deux sortes de promenades qu’on y avait ménagées dans l’espace découvert qui était au milieu, & sous les galeries qui en formaient l’enceinte.

279. (1761) Lettre à Mlle Cl[airon] « LETTRE A MLLE. CL****, ACTRICE. DE LA COMÉDIE FRANÇOISE. Au sujet d’un Ouvrage écrit pour, la défense du Théâtre. » pp. 3-32

Une des plus grandes fautes de votre Avocat, est d’avoir prétendu que les lois dussent tolérer le scandale d’un concubinage public.

280. (1665) Lettre sur les observations d’une comédie du sieur Molière intitulée Le Festin de Pierre « APOSTILLE » pp. 33-57

Je n’en dois pas demeurer là, et j’ai trop de choses à dire à l’avantage de Tartuffe pour finir si tôt sa justification, puisque je prétends prouver qu’il est impossible de jouer un véritable dévot, quand même on en aurait dessein et que l’on y travaillerait de tout son pouvoir.

281. (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre II. Le métier de comédien est mauvais par lui-même, et rend infâmes ceux qui l’exercent. » pp. 15-28

S’il est vrai qu’il y en a qui prétendent s’en faire un amusement pour l’utilité publique : j’admire leurs talents et leur beau génie ; mais je remercie Dieu de ne me les avoir pas donnés.

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