/ 448
327. (1697) Essais de sermons « POUR LE VINGT-TROISIÈME DIMANCHE D’APRÈS LA PENTECÔTE. » pp. 461-469

Or comme Hérode célébrait le jour de sa naissance, la fille d’Hérodias dansa publiquement devant lui, et elle lui plut de telle sorte, qu’il lui promit avec serment de lui donner tout ce qu’elle lui demanderait.

328. (1731) Discours sur la comédie « TABLE DES MATIERES CONTENUES DANS CE VOLUME. »

Isidore de Séville traite d’Apostats ceux qui fréquentent le Théâtre, 168 Judith, pourquoi son Histoire plaît, 310. défigurée par M.

329. (1694) La conduite du vrai chrétien « ARTICLE V.  » pp. 415-435

Il ne faut donc qu’un peu de vrai Christianisme ; il ne faut qu’un peu de zèle pour son salut et pour celui des autres, afin de bannir ces ennemis de la vertu et de l’honnêteté : que Messieurs les Magistrats se donnent la peine d’entendre le Saint Esprit, qui leur parle et qui leur crie, « apprenez Juges, ouvrez, les oreilles, vous qui tenez sous votre autorité, les multitudes, et qui vous plaisez dans les pouvoirs que vous avez sur les Troupes, apprenez deux choses, la premières que toute votre puissance vient de Dieu, la seconde que ce même Dieu vous demandera compte de toutes vos œuvres, et fondera jusqu’à la moindre de vos pensées, par la raison que vous ayant établi les Ministres de son Royaume, vous n’avez point observé la Loi de la Justice ni marché selon sa volonté : ce qui fait qu’en peu de temps il vous apparaîtra d’une manière terrible, et vous fera demeurer d’accord que le jugement contre ceux qui président aux autres, sera effroyable » : Que répondra donc à Dieu le Juge qui aura contribué à la perte des âmes, par la permission injuste qu’il aura donnée à ces persécuteurs de la vertu ?

330. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE III. Théatre de S. Foix. » pp. 52-75

Mais cette élégance ne sauve pas les défauts, & le libertinage ne peut plaire qu’à des cœurs dépravés. […] Freron lui-même, admirateur décidé, & trop admirateur pour n’avoir pas été payé, convient que ce stratagème, trop froid pour plaire, avoit fait tomber la piece.

331. (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE III. De la Comédie. » pp. 92-118

, p. 268 : « mais il obtient tous les suffrages celui qui unit l’utile à l’agréable [et plaît et instruit en même temps] »]. […]  : « […] convenons que, l’intention de l’Auteur étant de plaire à des esprits corrompus, ou sa morale porte au mal, ou le faux bien qu’elle prêche est plus dangereux que le mal même […] » dr.

/ 448