Cet Ecrivain mourut à Nemours en 1676. […] Il mourut en 1701 ; mais dès l’année 1688, il reconnut ses écarts, & il eut le bonheur de devenir Catholique. […] Il mourut en 1726. […] On y veut mourir en se portant bien. […] Tout meurt sous les efforts d’un art corrupteur.
La postérité saura peut-être la fin de ce Poète comédien, qui en jouant son malade imaginaire ou son médecin par force reçut la dernière atteinte de la maladie dont il mourut peu d’heures après et passa des plaisanteries du théâtre parmi lesquelles il rendit presque le dernier soupir, au tribunal de celui qui dit : « Malheur à vous qui riez, car vous pleurerez »Luc, VI, 25.
Puisque les Comédiens sont excommuniés, infâmes, attachés à une profession criminelle, le Curé de Philométor a fait son devoir en lui refusant les Sacrements, à cause de l’opiniâtreté où il était de vouloir persévérer dans sa profession, et par conséquent il a dû refuser à son corps la sépulture Ecclésiastique ; puisqu’elle n’est due qu’à ceux qui meurent dans la Communion de l’Eglise, et que le Rituel Romain défend de la donner aux pécheurs publics.
A force de peindre nos Bergers tendres, amoureux, nous en fesons des amans glacés, qui font rétentir les échos de leurs amoureuses plaintes, & qui meurent, par métaphore, pour les beaux yeux d’une ingrate. […] Vadé, qui en fut l’inventeur, le perfectionna tout d’un coup ; il mourut à la fleur de son âge en 1757, & son génie la peut-être suivi dans le tombeau.
Mais alors, pourquoi n’avoir pas lancé les foudres de l’Église Gallicane contre ce souverain pontife qui mourut à Valence ? […] [NDE] Les frères Parfaict, dans leur Histoire Générale du Théâtre françois depuis son origine jusqu’à présent (Paris, 1731-1749, 15 vol.) racontent qu’un curé de Metz, en 1437, joue le Christ dans le Mystère de la Passion et manque de mourir sur la croix (vol. 2, 1736, p. 254), est secouru et remplacé par un autre curé.