Tertullien a fait un livre des spectacles, et S.Cyprien une épître au peuple qui est ferme en l’Evangile. […] ) Le temps passé on a eu en grande abomination tels spectacles, comme même Tertullien le montre en son livre des Spectacles.
Quoiqu’il en soit, dès que le Livre de M. […] » Il ne faut point d’autre éloge du Livre de M. […] Au reste, les noms des Comédies et des Personnages que j’ai cru devoir traduire en Français, se trouveront à la tête du Livre, avec l’Anglais à côté.
EXTRAIT DE QUELQUES PENSEES SAINES Qui se rencontrent dans le livre de J.J. […] » Il serait à désirer pour lui qu’il se dédît pareillement de presque tout son livre. […] [NDA] Pourquoi tout ceci se trouve-t-il en pure perte dans un mauvais livre ?
Ils lui montrerent les livres de Moïse, lui en chanterent les bénédictions en son honneur, sautant & gesticulant à leur maniere. […] Il se réconcilia avec eux, rétracta son livre, leur fit des excuses & des éloges. […] Il la trouva dans son estrade, assise sur des carreaux, une de ses femmes lui donnoit un livre de piété. […] Elle n’avoit cependant, selon l’auteur, que treize cens mille livres de bien ; ce qui fait tout au plus cinquante à soixante mille livres de rentes : somme fort inférieure à ces dépenses. […] & même fit imprimer des livres.
Seront tenus lesdits Comédiens avoir de la lumière en lanterne ou autrement, tant au parterre, montée et galeries, que dessous les portes à la sortie, le tout à peine de cent livres d’amende et de punition exemplaire. […] Nous, conformément aux ordres de Sa Majesté, avons fait et faisons très expresses défenses à tous vagabonds et gens sans condition, même à tous Soldats, de se trouver aux environs du lieu où l’Académie de Musique est établie, les jours des représentations qui y seront données au Public, à peine de prison ; et à tous Pages et Laquais, d’y faire ni exciter aucun bruit ni désordre, à peine de punition exemplaire, et de deux cents livres au profit de l’Hôpital Général, dont les Maîtres demeureront responsables, et civilement tenus des violences et désordres qui auront été faits par lesdits Pages et Laquais. […] Comme aussi faisons très expresses défenses à tous Pages et Laquais de s’y attrouper, d’y faire aucun bruit ni désordre, à peine de punition exemplaire et de deux cents livres d’amende au profit de l’Hôpital Général, dont les Maîtres demeureront responsables, et civilement tenus de tous les désordres qui auront été faits ou causés par lesdits Pages et Laquais. […] majesté étant informée qu’au préjudice des défenses qui ont été ci-devant faites aux Troupes de ses Comédiens Français et Italiens, d’avoir dans la représentation de toutes sortes de pièces de théâtre, plus de deux voix qui doivent être de leur Troupe, et six Violons sans aucuns Danseurs ; lesdits Comédiens ne laissent pas de contrevenir aux Ordonnances qui ont été rendues à cet effet, en se servant de voix externes, en mettant un plus grand nombre de Violons, et même faisant faire des entrées de Ballets, et autres Danses : A quoi Sa Majesté voulant pourvoir, Sa Majesté en confirmant ses Ordonnances des trente Avril mil six cent soixante-treize, et vingt-un Mars mil six cent soixante-quinze, a fait très expresses inhibitions et défenses auxdits Comédiens Français et Italiens, de se servir d’aucunes voix externes, pour chanter dans leurs représentations, ni de plus de deux voix d’entr’eux ; comme aussi d’avoir un plus grand nombre de Violons que six, ni de se servir d’aucuns Danseurs dans lesdites représentations, sous quelque prétexte que ce soit ; à peine de cinq cents livres d’amende pour chaque contravention, au profit de l’Hôpital Général de sadite Ville de Paris ; Enjoignant Sa Majesté au sieur De la Reynie, Lieutenant Général de Police, de tenir sa main à l’exécution de la présente Ordonnance, qui sera à cet effet publiée et affichée partout où besoin sera. […] Roi ayant ci-devant permis à la Troupe de ses Comédiens Français de s’établir dans la rue des Petits-Champs, ils auraient acquis l’Hôtel de Lussan, et une maison contiguë audit Hôtel, appartenante aux Religieuses Carmelites de la rue du Boulloir, l’un et l’autre situés dans ladite rue des Petits-Champs : Savoir, ledit Hôtel par adjudication à eux faite en l’Assemblée des Créanciers du sieur Ménardeau de Beaumont, et de la Dame son Epouse, le vingt-sixième jour de Janvier dernier, sous le nom de Maître Denis Bechet, Notaire au Châtelet de Paris, pour la somme de cent mille livres, et ladite Maison par Contrat volontaire du cinquième Décembre dernier, pour la somme de seize mille livres, sous le nom du sieur du Boisguerin, lesquels Bechet et Dubois auraient fait leurs déclarations au profit desdits Comédiens, ledit jour cinquième Décembre, et le trentième jour de Janvier dernier ; sur le prix de laquelle maison acquise desdites Religieuses, lesdits Comédiens auraient payé la somme de six mille livres ; et en outre les droits de lods et ventes : et Sa Majesté ayant depuis trouvé plus à propos de permettre auxdits Comédiens, de faire leur établissement dans le Jeu de Paume de l’Etoile, rue des Fossés saint-Germain-des-Prez, Sa Majesté étant en son Conseil, a cassé et déclaré nuls et de nul effet lesdites adjudications et contrat de vente desdits jours cinquième Décembre, et vingt-sixième Janvier derniers, sans que les Créanciers desdits Sieur et Dame de Ménardeau, lesdites Religieuses, et tous autres, puissent pour raison de ce prétendre aucuns dépens, dommages et intérêts à l’encontre desdits Comédiens, ni dudit du Boisguerin : Voulant Sa Majesté que les sommes qui ont été payées à compte du prix desdites acquisitions, ensemble les droits de lods et ventes, soient rendues et restituées à ceux qui en auront fait le payement sans difficulté.