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238. (1666) La famille sainte « DES DIVERTISSEMENTS » pp. 409-504

Pour savoir la pensée de saint Augustin sur ce sujet, il ne faut que lire ce qu’il en a écrit sur le Psaume 91. […] A lire saint Basile, on dirait qu’il a encore je ne sais quoi de plus serré et de plus pénétrant que tous les autres. […] Ces désordres qui étaient ordinaires dans les Comédies des Païens, ont donné lieu à toutes les invectives que nous lisons encore aujourd’hui dans les écrits des saints Pères contre les théâtres. […] je les déteste, et j’en suis la cause ; j'écris mes rétractations, je tâche de les répandre par toute la terre, mais les âmes qui sont perdues par ma faute, ne retourneront pas pourtant à la grâce, mais les lira-t-on ? mais ceux qui les liront en feront-ils profit ?

239. (1722) Chocquet, Louis [article du Supplément au Dictionnaire Historique et Critique] « article » pp. 42-44

Si vous voulez un Commentaire sur cela, lisez ces paroles Tirées de Menestrier, des Représentations en Musique anciennes & modernes, pag.

240. (1753) Compte rendu de Ramire « Compte rendu de Ramire » pp. 842-864

Nous ne croyons pas que la plûpart des Chrétiens assidus aux spectacles, puissent lire sans se sentir troublés & alarmés, tout ce qu’un zèle éclairé & véhément dicte au Théologien Espagnol contre leur fausse sécurité.

241. (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre I. Du Théâtre des Anciens. » pp. 2-24

Je veux dire, l’usage de lire & de couronner les Poémes, les Histoires, les piéces d’Eloquence, dans les Fêtes publiques & solemnelles.

242. (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien cinquieme. Le danger de la Comedie en particulier, decouvert par le R. P. F. Guilloré de la Compagnie de Jesus. » pp. 67-79

Premierement, c’est une chose très-constante, que tous les Peres de l’Eglise ont declamé contre la comedie, qui se faisoit de leur tems, comme contre un spectacle, qui alloit de lui-même à la grande corruption des mœurs : Il ne faut qu’en lire les invectives, pour voir de quel zele ils estoient portez contre un divertissement, qui en deshonorant le Christianisme, en corrompoit aussi les maximes, & la pureté.

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