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159. (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VI. Machiavel. » pp. 198-214

Ce qu’on a trouvé en fouillant est un autel de Vénus, qu’on plaçoit au milieu du théatre avec sa statue, afin que les spectateurs eussent toujours devant les yeux l’objet le plus infâme, pour en repaître leur cœur dépravé.

160. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE VIII. De la Folie. » pp. 163-179

Paul lui-même, et plusieurs livres de l'Ecriture, nomment par leur nom et peignent par leurs vrais traits les actions les plus infâmes.

161. (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De certaines processions ou cérémonies religieuses, pratiquées par le clergé, et qui sont ou ont été beaucoup plus nuisibles au culte et a la morale publique que les comédies représentées sur nos théâtres.  » pp. 201-340

… car entrer dans l’église avec des masques à la main, y entendre la messe, bénir ensuite les masques et ces odieux déguisements avec de l’eau bénite puisée dans le grand bénitier, puis se masquer et danser devant l’image de la Vierge, qui tient au grand portail de l’église, c’est, selon moi, unir les bacchanales, les saturnales les plus infâmes, aux cérémonies les plus augustes, les plus saintes de notre culte ! […] PP., en l’année 1653, à l’occasion de l’Enigme infâme qu’ils y exposèrent, et dans laquelle on voyait tous les dieux du paganisme, tels que Jupiter, Vénus, Cupidon, etc., dans la nudité la plus absolue, et à côté des sujets les plus respectables de notre culte, tels que le saint-sacrement de l’autel, l’image de Jésus-Christ, de la Vierge, et des autres saints. […] Ainsi l’on voit marcher non seulement les ecclésiastiques, les moines, les magistrats, les artisans, mais encore les comédiens, quoique leur profession soit réputée infâme.

162. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre [V].  » pp. 156-192

A ce coup d’œil, à ce coup de foudre qui vous écrase, fuyez, démons du théatre, divertissemens impurs, corrupteurs infâmes, soyiez à jamais confondus. […] Un autre sexe ne peut en être l’objet infâme, qu’autant qu’il est effeminé comme elle.

163. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE VI. De l’Iconomanie théatrale. » pp. 141-158

Sur l’infâme tableau de Leda ; il décide qu’on ne peut le retenir en conscience, même en le voilant, quoiqu’un chef d’œuvre de peinture : Omnis immunditia ne nominetur in vobis (nec pingatur ;) on péche mortellement en regardant dans les lieux publics, les jardins des Princes, les nudités indécentes.

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