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399. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre III. De la Musique Française & Italienne. » pp. 252-286

Sans entrer dans aucune discussion à ce sujet, il me suffit, pour la gloire de notre Langue, que Lully n’ait travaillé que sur des paroles Françaises.

400. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VIII. De la Comédie les jours de fête. » pp. 159-179

Nous nous réjouissons à Pâques de la gloire de la résurrection ; on va au parterre applaudir à des danseuses, à des chanteuses.

401. (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Suite des Mêlanges. » pp. 146-197

La gloire de M. […] Encens d’ailleurs inutile à l’éloge du Chancelier, ou plutôt nuisible à sa gloire.

402. (1694) Lettre d’un théologien « Lettre d'un théologien » pp. 1-62

Si l’excès du divertissement est donc un péché (comme on n’en peut douter) les Comédiens sont en état de péché, comme aussi tous ceux qui assistent à la Comédie pèchent, et ceux qui leur donnent quelque chose sont comme les fauteurs de leur péché, ce qui semble être faux ; car nous lisons dans la Vie des Pères qu’il fut un jour révélé à saint Paphnuce qu’il n’aurait pas dans l’autre vie un plus haut degré de gloire qu’un certain Comédieng. » Si l’objection que se fait saint Thomas est subtile, sa réponse n’a pas moins de délicatesse et de solidité. […] Ce serait ici l’endroit de vous dire ce que je pense de vos Ouvrages ; et vous jugez bien que je ne vous en pourrais rien dire qui ne fut à votre gloire ; mais vous m’avez prié de vous donner des Instructions touchant la conduite de votre âme, et non des Eloges sur la beauté de votre génie ; et vous me rendez assez de justice pour croire qu’un Théologien n’est pas obligé d’être bel Esprit.

403. (1705) Traité de la police « Chapitre IV. De la Comédie Française ; son origine, son progrès, et les Règlements qui ont été faits pour en permettre, corriger et discipliner les représentations, ou pour en assurer la tranquillité. » pp. 439-445

Toutes ces Pièces furent données aux Comédiens, dont la Troupe était alors unique ; cela leur acquit de la réputation, et la renommée du gain qu’ils y faisaient s’en répandit bientôt dans les Provinces : il s’y forma aussi des Troupes de Comédiens ; et après avoir fait quelques essais de leurs représentations dans les principales Villes du Royaume, ils crurent être assez forts pour venir à Paris partager la gloire du Théâtre avec l’Hôtel de Bourgogne.

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