Julien défendoit aux Sacrificateurs de ses faux Dieux d’y assister, de même que d’aller aux cabarets.
Il est si fort ordinaire à ces messieurs les beaux esprits de prendre le méchant parti pour exercer la facilité qu’ils ont de prouver ce qui paraît le plus faux, qu’ils ont cru que cette réputation ferait un tort considérable à l’ouvrage de Monsieur de Molière, s’ils écrivaient pour en montrer l’innocence et l’honnêteté, et, d’ailleurs, comme ils ont vu qu’il n’y avait point de gloire à remporter, quelque fort que fût le raisonnement qu’ils produiraient, ils en ont laissé le soin aux plumes moins intéressées que les leurs.
Pleræque enim earum, tamquam in numerosa multitudine diebus festis, cum adveniunt audituræ verbum Dei, per inscitiam lætitiæ spiritualis, se dedunt inhonestis disciplinis. » c’est-à-dire, de femmes et de filles Chrétiennes, qui par une indiscrète et fausse joie, qu’elles appellent spirituelle, dansent aussi d’une manière honteuse les jours des Fêtes, et dans le temps même qu’elles viennent dans les Eglises pour entendre la parole de Dieu.
J’aurais encore ici de quoi m’arrêter longtemps, et cela nuirait à l’empressement que j’ai de justifier les Comédiens des imputations fausses et méchantes que vous leur faites. […] L’Officier lui communiqua une idée, qui n’est peut-être pas sans inconvénients, mais qui mise en exécution retiendrait infailliblement mieux les faux braves que tout autre règlement qui ait paru jusqu’ici. […] Cette loi terrible contiendrait les faux braves, même par le défaut d’équité qu’on peut lui reprocher.
J’ai voulu vérifier si son opinion, la seule que vous ayez rapportée, était bien respectable, et j’ai lu dans une histoire abrégée, imprimée chez Leroy, à Paris, en 1789, que le comte de Bussy-Rabutin a composé des ouvrages dans lesquels il se plaisait à faire la peinture de mœurs dépravées (les amours des Gaules) et qu’il avait une âme fausse, petite et faible….