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251. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre V. Infamie civile des Comédiens. » pp. 101-125

Il fit fouetter publiquement sur les trois théâtres de Pompée, de Marcellus et de Balbus, un fameux Comédien qui entretenait une femme déguisée en homme.

252. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VIII. Anecdotes illustres du Théatre. » pp. 186-214

On dit que Henri IV, se promenant à la campagne, avec une de ses maîtresses, rencotra un paysan qui ne le connoissoit pas, avec qui il s’entretint familierement à son ordinaire, il lui demanda ce qu’il pensoit du Roi.

253. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Le Comte de Chavagnac & le Marquis de… » pp. 188-216

Pour maintenir la bonne intelligence avec les Tartares, les Cosaques, les Transilvains, &c. on entretient dans les villes & les villages des frontieres un nombre choisi de femmes de bonne volonté, & une provision de tonneaux de vin de Hongrie, pour régaler les Seigneurs de ces nations qui viennent rendre visite aux Seigneurs Polonois.

254. (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VII. Autre suite de diversités curieuses. » pp. 173-202

Il n’est donc pas permis de contribuer à entretenir par son argent, par sa plume, un métier, un exercice, un danger aussi pernicieux.

255. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE IV. Des Pièces pieuses. » pp. 68-95

Sans doute on ne parle pas toujours morale, mais il n’est jamais permis de la proscrire ; on n’alarme pas toujours le pécheur, mais on ne doit jamais l’aveugler ; on ne prêche pas toujours la pénitence, mais il ne faut jamais en détourner ; on peut inspirer l’amour et la joie au juste, mais jamais la dissipation, la folle joie, l’amour profane, et ce n’est que par un abus sacrilège qu’on emploie à l’entretenir ce qui ne fut fait que pour le réprimer.

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