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222. (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE III. Des Comédies de ce temps, si elles sont moins mauvaises et moins condamnables que celles du temps passé. » pp. 55-81

Il lui fait consulter ses livres ordinaires, où elle apprend que, « Dans l’empire amoureux, Atys p. 29.

223. (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE II. De la Tragédie. » pp. 65-91

« Je dois régir en Dieu l’Univers prévenu ; Mon Empire est détruit, si l’homme est reconnu. » ch Vous me siffleriez sans doute d’avoir ajouté un trait noir de plus au caractère de Mahomet ; mais si l’Auteur et le Public m’applaudissaient, croyez-vous que je ferais beaucoup d’attention à votre mauvaise humeur ?

224. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VI. De la Religion sur le Théâtre. » pp. 120-142

Le théâtre réunit tout : l’irréligion et le libertinage en ont jeté les fondements, et par un juste retour il en a étendu l’empire.

225. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre II. Discipline du Palais. » pp. 26-50

Libanius répond ensuite au prétexte de la nécessité, dont on se servait ; les spectacles faisaient alors partie des fêtes que tout l’empire célébrait à l’honneur de l’Empereur le jour de sa naissance et de son avènement au trône.

226. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre IV. Bassesse légale du métier de Comédien. » pp. 75-100

Il est bien plus étonnant que de pareilles idées n’aient inondé Rome et tout l’empire ; mais le Romain, naturellement grand, sage, vertueux, a toujours méprisé les Comédiens, et dans le temps même où la Grèce et l’Asie, portant l’ivresse jusqu’au comble, ne rougissaient pas d’honorer le théâtre, ce fonds de grandeur, de sagesse et de vertu, non seulement a laissé dans la roture cette vile engeance, mais l’a authentiquement couverte de la tache ineffaçable d’une infamie légale.

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