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82. (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « III. Si la comédie d’aujourd’hui est aussi honnête que le prétend l’auteur de la Dissertation. » pp. 5-9

Caffaro, « Lettre d’un théologien, illustre par sa qualité et son mérite, consulté par l’auteur pour savoir si la Comédie peut être permise, ou doit être absolument défendu », in Pièces de théâtre de Boursault, Paris : Jean Guignard, 1694, pages 38, 40 etc. […] Caffaro, « Lettre d’un théologien, illustre par sa qualité et son mérite, consulté par l’auteur pour savoir si la Comédie peut être permise, ou doit être absolument défendu », in Pièces de théâtre de Boursault, Paris : Jean Guignard, 1694, pages 38, 40 etc.

83. (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Punctum Unicum. » pp. 5-6

Donc il défend de vous ajuster pour être vue ; et comme si vous aviez juré de lui désobéir, vous allez au bal tout exprès pour voir de ces femmes, ou pour être vue. […] Ce n’est pas qu’il soit défendu de se réjouir ; mais remarquez que toutes les fois que l’Ecriture parle de se réjouir, elle ajoute toujours : En Notre Seigneur.

84. (1695) Mandement de Monseigneur l’Illustrissime et Révérendissime Evêque d’Arras contre la Comédie [4 décembre 1695] « Mandement  » pp. 34-37

A ces causes, et attendu la circonstance particulière de l’Avent, de la Mission que nous faisons faire dans cette Ville, et des Prières publiques qui s’y font actuellement pour demander à Dieu la Paix, cette Paix que lui seul peut donner et que nous ne saurions lui demander avec trop d’ardeur ; quoique nous ne puissions ne pas condamner en tout temps la Comédie : Nous défendons particulièrement à tous les Fidèles de notre Diocese d’y aller pendant ce saint temps, consacré par lui-même et par tous les exercices publics de Piété que nous y faisons faire pour des sujets si importants, et ce sous peine d’Excommunication : Nous ordonnons à nos Confesseurs de traiter dans le Tribunal conformément aux Règles marquées par l’Eglise ceux qui contreviendront à notre présente Ordonnance, et particulièrement les personnes de l’autre sexe que la pudeur devrait en détourner avec plus de soin. Et à l’égard des Comédiens et Comédiennes, Nous défendons très expressément à nos Pasteurs et à nos Confesseurs de les recevoir aux Sacrements si ce n’est qu’ils aient fait Pénitence de leur péché, donné des preuves d’amendement, renoncé à leur Etat, et réparé par une satisfaction publique, telle que nous jugerons à propos de leur ordonner, le scandale public qu’ils ont donné.

85. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre I. De la Pudeur. » pp. 4-35

L’impureté est-elle permise à celles qui naissent dans les palais, & défendue aux habitantes des cabanes ? […] Elle veut des témoins qui déposent de leur conduite, des gardes qui défendent leurs vertus, des objets imposans qui les protégent elles-mêmes. […] Les statuts de tous les Ordres défendent aux Religieux de sortir sans compagnon, & aux Religieuses, de venir au parloir sans auditrice. […] On peut avoir intérêt de cacher ses desordres, aucune loi ne le défend ; on n’en a point à les étaler, toutes les loix défendent le scandale. […] Que l’orgueuil ne s’en défende pas, dit S.

86. (1666) Seconde Lettre de Mr Racine aux deux apologistes des Hérésies Imaginaires « De Paris ce 10. Mai 1666. » pp. 193-204

Mais cela serait plaisant que je prisse contre vous le parti de tous vos Auteurs ; c’est bien assez d’avoir défendu M. […] » Vous voyez qu’il ne défend pas de les lire, mais il veut auparavant que je m’y prépare sérieusement. […] [NDE] Montalte/Pascal se défend d’être de Port-Royal dans la Seizième Provinciale, et à nouveau dans la Dix-Septième. […] [NDE] C’est le sujet de la Onzième Provinciale, où Pascal se défend d’avoir « tourné les choses saintes en raillerie ».

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