Et l’on dit qu’il n’en résulte que des préjugés : j’en conviens ; mais ces préjugés étant universels, il en faut chercher une cause universelle. […] « Je demande comment un état dont l’unique objet est de se montrer au public, et, qui pis est, de se montrer pour de l’argent, conviendrait à d’honnêtes femmes, et pourrait compatirl en elles avec la modestie et les bonnes mœurs.
Notre chant héroïque offre une beauté noble & sérieuse, qui peut ne pas convenir à tout le monde ; il doit pourtant de nos jours avoir plus de partisans qu’autrefois, puisqu’on commence à le rendre plus vif & plus varié qu’il n’était.
, dont « la première et la principale est qu’on ne recherche point cette délectation dans des actions ou des paroles malhonnêtes ou nuisibles ; la seconde, que la gravité n’y soit pas entièrement relâchée ; la troisième, qu’elle convienne à la personne, au temps et au lieu ».
On doit convenir, d’après tout ce qui vient d’être dit, que les auteurs dramatiques sont des empoisonneurs publics qui se chargent d’autant de crimes que leurs pièces en font commettre, qui sont coupables d’autant d’homicides qu’il y a d’âmes perdues à leurs spectacles.
Il faut en convenir, ton galant mari est fait pour l’amour. […] Parlons d’abord de la Tragédie ; car ce qui suffit pour ce genre, ne convient pas toujours à l’autre. […] rendues avec la dignité qui leur convient : les entrées & les issues peuvent être ici multipliées autant que la disposition de la Scène le permettra. […] La Décoration d’une Pièce lyrique, qui représenterait un Temple, un Palais, conviendrait presque toujours aux Tragédies. […] Je conviens de la justesse de cette réflexion ; mais mon accusation, n’en est pas moins bien fondée.