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238. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre II.  » pp. 37-67

Le grand Moliere, dans le Bourgeois Gentilhomme, auroit du joindre un amateur du théatre, au maitre à danser, au maître à chanter, au maître en fait d’armes, & lui faire prouver que la scéne, tout aussi-bien que la danse, la musique & les armes, fait le bonheur du monde.

239. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre V.  » pp. 129-160

Le tems ne partage pas sa course ; il est burlesque de dire qu’il coule, tantôt sur l’un, tantôt sur l’autre : je doute que Moliere doive être fort flatté d’être chanté si mal, d’avoir de pareils admirateurs, & d’avoir formé de pareils éleves.

240. (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE V. De la Parure. » pp. 107-137

Une femme ne se fait peindre, buriner, chanter, qu’après s’être mise dans la meilleure posture, par l’adresse de son Coëffeur.

241. (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE III. L’insolence du Théâtre Anglais à l’égard du Clergé. » pp. 169-239

En un mot, toute cette pièce est très édifiante : on n’y donne que des leçons de piété, on n’y chante que de saints cantiques ; et on ne la joue point sur un Théâtre public.

242. (1733) Dictionnaire des cas de conscience « Comédie. » pp. 765766-806

touchant la lecture des livres des Païens vers la fin, il dit : que pour conserver la pureté de son âme, il faut éviter le plaisir des sens, qu’il faut fuir à cette fin les spectacles et la musique que l’on y chante, qui n’est propre qu’à corrompre l’âme, et à irriter les passions Basil. hom. […]  » Saint Chrysostome dans son Homélie 38. sur le chap. 11. de Saint Matthieu vers la fin, parlant en particulier de la chasteté et de la vie mortifiée qu’il faut mener pour la conserver, dit ces paroles pour éloigner de la Comédie, et de celle particulièrement où l’on chante des airs de musique : « Comment, dit ce Père S.

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