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52. (1715) Dictionnaire de cas de conscience « COMEDIE. » pp. 739740-750

Ante omnia tamen diligenti observari ac teneri sanctione jubemus, ut vere et in extremo periculo constituti, id pro salute poscentes, si tamen antistites probant, beneficii consequantur.

53. (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE I. Où l’on prouve que le spectacle est bon en lui-même et par conséquent au-dessus des reproches de M. Rousseau. » pp. 13-64

On voit bien que vous n’avez pas sous les yeux les objets de votre critique, les livres vous manquent et surtout Molière, votre mémoire ne vous dédommage pas de cette privation, vous n’auriez pas imaginé qu’il est des caractères estimables qu’on n’ose mettre sur la scène tel que celui d’un homme droit, vertueux, « simple et sans galanterie, [qui ne] fait point de belles phrases, ou un sage sans préjugés qui ayant reçu un affront d’un spadassin, refuse de s’aller faire égorger par l’offenseur : qu’on épuise, ajoutez-vous, tout l’art du Théâtre pour rendre ces personnages intéressants comme le Cid au peuple Français, j’aurai tort si l’on réussit. »ac Pour détruire cette objection, il m’est facile de prouver que nos Auteurs n’ont pas eu la lâche complaisance que vous dites et de le prouver par des faits. […] ac.

54. (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE II. Histoire de la Poësie Dramatique chez les Grecs. » pp. 17-48

Eschyle fut appellé le pere de la Tragédie, parce qu’il la tira de son état rude & grossier, comme dit Quintilien, rudem ac impolitam Tragædiam aliquantulum illustravit, & il mérita surtout ce titre, pour avoir compris le premier, qu’il falloit écarter des yeux des Spectateurs la vue des meurtres : c’est ce qu’on lit dans Philostrate.

55. (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE III » pp. 42-76

ac.

56. (1600) Traité des Jeux comiques et tragiques « [Traité] » pp. 3-62

Cyprien, que nous verrons ci-après : l’Ecriture défend en termes exprèsEph. 5 ab , de nommer la paillardise, impureté, fol propos, plaisanterie ; ajoutant qu’il est déshonnête de dire les choses, que les infidèles font en cachette : Item nous exhorteEph. 4 ac , que nul propos infect, ne sorte de notre bouche, afin de ne contrister le S.  […] Deu. 12 z Aug. de Civit. l. 2. ca. 26. et 27 aa Eph. 5 ab Eph. 4 ac 1.

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