Il prouve invinciblement par ces belles paroles de Jésus-Christ à ses Disciples, « Pendant que le monde se réjouira, vous serez dans la tristesse », que l’on ne peut être heureux ici sur la terre et ensuite dans le Ciel, que chacun est heureux et malheureux à son tour
Vous assigniez à Jésus-Christ en la personne de ses pauvres, une portion des profits de votre commerce, en reconnaissance de la bénédiction qu’il y répandit.
Y a-t-il un mot de Jésus-Christ, de son Eglise, de ses mystères, des vertus évangéliques, l’humilité, la mortification, la pauvreté, le recueillement ? […] Personne sans doute n’adore Jupiter ; mais tout le monde apprend à ne plus croire, aimer, adorer Jésus-Christ. […] « Ne nominetur in vobis. » Jésus-Christ assure qu’on rendra compte au jugement d’une parole inutile ; pense-t-il qu’il fera grâce aux vers, aux scènes, aux gestes, aux danses, chants, etc., très inutiles pour le moins, et certainement pis qu’inutiles ?
Cette prétention odieuse, impie et hérétique, qui sur terre place la tiare au-dessus de la couronne, et dont les conséquences sont abominables, est directement contradictoire avec le précepte de Jésus-Christ, qui a dit formellement, mon royaume n’est pas de ce monde.
C’est pourquoi Jésus dit, « bien heureux sont ceux qui pleurent, car ils seront consolez ».