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63. (1838) Principes de l’homme raisonnable sur les spectacles pp. 3-62

Partout l’Evangile, les Apôtres prêchent la même doctrine. […] L’Evangile nous oblige de combattre et de mortifier nos passions : et rien ne les excite davantage, que la fréquentation des Spectacles. […] Les uns éclairés de la véritable sagesse qui est la sagesse de l’Evangile, les réprouvent ; les autres, trompés par les fausses lumières d’une prudence charnelle, s’efforcent de les justifier. […] Il leur est donc impossible d’allier avec la pureté de notre Religion, un métier que d’ailleurs les Conciles leur font une obligation de quitter, et il n’est permis à personne de contribuer à les y entretenir, ni de l’autoriser par sa présence. » « Parmi les personnes qui vont aux Spectacles, y en a-t-il beaucoup qui connaissent toute la pureté de l’Evangile, et toutes les obligations du Chrétien ? […] Guidé par la Foi, ce flambeau éternel devant qui toutes les lueurs du temps disparaissent, devant qui s’évanouissent toutes les rêveries sublimes et profondes de nos faibles esprits-forts, ainsi que toute l’importance et la gloire du bel esprit ; je vois, sans nuage et sans enthousiasme, que les Lois sacrées de l’Evangile et les maximes de la morale profane, le Sanctuaire et le Théâtre, sont des objets absolument inalliables.

64. (1753) Compte rendu de Ramire « Compte rendu de Ramire » pp. 842-864

L’Evangile & le Théâtre opposés, leurs maximes contraires forment ici un contraste frappant, dont l’Auteur profite pour rappeller aux Chrétiens la sainteté de leur profession, & surtout l’obligation ou sont les pères & mères d’instruire leurs enfans dans la foi, de les former à la piété, de veiller sur leur innocence, & d’en écarter tout ce qui peut la séduire & la corrompre, soit en affoiblissant les attraits vertueux par le ridicule qu’on y attache ; soit en fortifiant les penchants vicieux par l’honneur qu’on en tire. […] Quant à la tolérance, il avertit, qu’elle ne rend pas licite la chose tolérée, qu’elle n’ôte pas aux raisons tirées de la règle des mœurs & de l’Evangile, la force qu’on ne peut y méconnoître, quand on est de bonne foi. 3°. 

65. (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « EXTRAIT Du Journal de Trevoux ; Mois d’Avril 1753. Art. XXXIX. » pp. 59-70

L’Evangile & le Théâtre opposés, leurs maximes contraires forment ici un contraste frappant, dont l’Auteur profite pour rappeller aux Chrétiens la sainteté de leur profession, & surtout l’obligation où sont les pères & mères d’instruire leurs enfans dans la foi, de les former à la piété, de veiller sur leur innocence, & d’en écarter tout ce qui peut la séduire & la corrompre, soit en affoiblissant les attraits vertueux par le ridicule qu’on y attache ; soit en fortifiant les penchants vicieux par l’honneur qu’on en tire. […] Quant à la tolérance, il avertit, qu’elle ne rend pas licite la chose tolérée, qu’elle n’ôte pas aux raisons tirées de la règle des mœurs & de l’Evangile, la force qu’on ne peut y méconnoître, quand on est de bonne foi 3°.

66. (1574) Livre premier. Epître dixième. Cyprien à Eucratius son frère « Epître dixième. » pp. 30-31

Tertullien a fait un livre des spectacles, et S.Cyprien une épître au peuple qui est ferme en l’Evangile.

67. (1764) Comédie pp. 252-254

Cyprien en son Epître à Eucratius, c’est profaner la sainteté et la gloire de l’Eglise, et violer les regles de l’Évangile, que de permettre qu’elles soient souillées par la communication de personnes aussi infâmes.

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