Et afin qu’on sache que je n’en parle pas ignoramment et à vue de paysn, comme on dit, je vous veux montrer comme saint Thomas d’Aquin embrassant la défense de la comédie a prononcé l’arrêt sévère mais très juste dû à nos ennemis, en son livre au titre Du Jeu, quest. 22, en ces paroles : « Ludus est necessarius ad conservationem et conversationem vitæ humanæ ; ad omnia autem quæ sunt conversationi humanæ necessaria deputari possunt aliqua officia licita : et ideo etiam officium histrionum quod ordinatur ad solatium hominibus exhibendum, non est secundum se infame aut illicitum ; nec sunt in statu peccati dummodo moderate ludo utantur.
Leur portrait seul porte le virus, & leurs faveurs en communiquent un autre qu’Apollon célébre moins que Mercure ; ce n’est pas la politique farouche de Saint Paul qui défend de commettre le moindre péché, pour empêcher un plus grand mal, non sunt facienda mala ut eveniant bona ; les courtisannes d’Italie souffertes par la police, comme un mal inévitable, sont moins zélées que nos actrices. […] Tout le monde y sait lire, un coup d’œil suffit à cette infame lecture, intelligible aux moindres enfans, les objets se gravent plus promptement & plus profondément dans le cœur, segnius irritant animos demissa per aurem ; quam quæ sunt oculis subjecta fidelibus. […] Pater familias amoveri curabit quæcumque, Domi suæ, christianæ familiæ instituto sunt indigna, & oculos Dei offendant, imagines obscenas incendat prophanos quæ ad inanam voluptatem alliciunt amoveat. […] Scortatæ sunt aures, fornicati sunt oculi, adulterium commiserunt aspectus.
Macrobe « Festis diebus qui Diis dicati sunt, insunt sacrificia, ludi, feriæ ; sacra enim celebritas est vel cum sacrificia Dies offeruntur, vel cum Diis divinis epulationibus celebratur, vel cum ludi in honorem aguntur Deorum vel feriæ observantur. » Macrob. l. […] « Festis diebus qui Diis dicati sunt, insunt sacrificia, ludi, feriæ ; sacra enim celebritas est vel cum sacrificia Dies offeruntur, vel cum Diis divinis epulationibus celebratur, vel cum ludi in honorem aguntur Deorum vel feriæ observantur. » Macrob. l.
Ierusalem ruit, & Iudas concidit, væ animæ eorũ, quia redditæ sunt eis mala. […] Inventi sunt in populo meo impii insidiantes quasi aucupes, laqueos ponentes. […] Ierusalem ruit, & Iudas concidit, væ animæ eorũ, quia redditæ sunt eis mala. […] Inventi sunt in populo meo impii insidiantes quasi aucupes, laqueos ponentes. […] Saginentur eiusmodi dulcibus cõvivæ sui, nostræ cœnæ, nostræ nuptiæ nondum sunt, non possumus discumbere cum illis, quia nec illi nobiscum.
La conséquence que la Glose a tirée de cette loi générale, est que toute espece de Comédiens, sous quelque nom qu’ils se produisent, sont atteints de plein droit du vice dont nous parlons, sic putat Glossa quod Joculatores omnes sunt infames ipso jure .
Il faudrait, ajoute-t-il, pour représenter ce spectacle, les tragédies d’Echyle et de Sophocle, encore même ne pourraient-elles pas atteindre à l’excès de ces maux : « Quæ Carthaginenses passi sunt Æschilis et Sophoclis tragediis egerent, atque horum quoque linguam vinceret malorum magnitudo. » Cette ville si puissante, si riche, qui a longtemps disputé à Rome l’empire du monde, qui a mis Rome à deux doigts de sa perte, qu’à peine Rome a pu vaincre après trois grandes guerres, est aujourd’hui le jouet des barbares : « Illa a Romanis vix capta, quæ cum maxima Roma de principatu certaverat, eamque in summum discrimen deduxerat, modo facta est ludibrium barbarorum. » Ses célèbres Sénateurs, errants et fugitifs dans toute la terre, attendant pour vivre quelque aumône des gens charitables, arrachent les larmes des yeux, et présentent le plus triste tableau de l’instabilité des choses humaines : « Orbe toto errantes, vitam ex hospitalium manibus sustentantes, cient spectantibus lacrimas, et rerum humanarum instabilitatem declarant. » Cet Auteur ajoute que peu de temps auparavant, les habitants de Trèves, après avoir vu trois fois piller, saccager et brûler leur ville par les Francs, eurent la folie de demander des spectacles pour toute consolation et tout remède à leurs maux : « Quis æstimare hoc genus amentiæ possit qui excidio superfuerant quasi pro summo deletæ urbis remedio, circenses postulabant ? […] Le triste événement qui irrita si fort la colère de Dieu, et coûta la vie à vingt-quatre mille personnes, est d’autant mieux approprié au théâtre, que c’était la célébration de la fête de Belphégor, aux mystères duquel ses criminels Acteurs se firent initier : « Et initiati sunt Belphegor », dit le Prophète (Psal.
IX, cap. x, qu’il traduit ainsi : « Pauci amici propter delectationem sunt habendi, quia parum de delectatione sufficit ad vitam quasi pro condimento, sicut parum de sale sufficit in cibo. » La thèse que soutient saint Thomas en cet article est énoncée en ces termes : « Qui in ludo talem defectum committunt ut et ipsi nihil delectabile proférant et delectabllia moderate ab aliis prolata rejiciendo molesti sint, peccant quidem, minus tamen iis qui in ludicris excedunt. » aq.
Il n’y en a point, dit saint Cyprien, qui soient plus dignes de l’attention & de la curiosité des Chrétiens, Hæc sunt fidelibus Christianis parata spectacula. […] Spectacula pompæ sunt. […] Non, Seigneur, disoit un Prophete, vos yeux sont trop purs pour souffrir le mal, & vous ne pouvez regarder l’iniquité, mundi sunt oculi tui, ne videas malum, & respicere ad iniquitatem non poteris : Hab. […] Spectacula pompæ sunt.
., où son opinion est si clairement exprimée dans ce peu de mots : « Et hæc sunt scenicorum tolerabiliora ludorum, comœdiæ scilicet et tragœdiæ » ; oubliant aussi que saint Thomas d’Aquin, à l’exemple du grand saint, avait considéré l’art dramatique, qu’il appelle histrionatus ars, comme nécessaire et indispensable à la société : « Necessarius ad conversationem vitæ humanæ »(art. 3, in resp. ad 3, quæst. 168) , et enfin ignorant peut-être, ce que nous ne voudrions pas admettre, que saint Antonin lui-même, appuyé de l’autorité de saint Thomas, dit dans suæ Summæ, tit. 8, cap.
Duo hæc sunt præceteris de illis hominibus in Parisiensi Rituum volumine, aliisque permultis eatenus consonis sancita capita.
Chacun y apporte sa marchandise, on l’y étale, on l’y fait valoir, on l’y livre ; les emplettes s’y font à vil prix ; c’est même un marché d’esclaves, comme il s’en tient dans l’Orient, où l’on expose les hommes en vente ; on y vend les ames pour un moment de plaisir, avec cette différence malheureuse, que bien loin d’en gémir, elles aiment leur esclavage, courent se livrer à leur tyran, & se forgent à elles-mêmes leurs chaînes : Saltationes sunt dæmoniorum comercia. […] Mais c’est toujours le poison du vice diversement apprêté, c’est toujours la même foiblesse humaine dans ceux qui s’en nourrissent, peut-être plus grande encore dans ceux pour qui on fait les apprêts les plus somptueux : Tactus & joci principia sunt morientis virginitatis. […] La danse est cette agitation dangereuse, d’où la vertu ne revient jamais entiere, & où le vice achève de se briser : Manus mulieris vincula sunt, qui placet Deo effugit illas, peccator rapitur ab ea.
C’est sur le théâtre, direz-vous, et il est vrai que vos comédies et vos tragédies sont châtiées et ce qu’il y a de plus tolérable dans votre religion : « Et hæc sunt tolerabiliora comediæ et tragediæ nulla verborum obscenitate compositæ. » (Voilà notre théâtre.). […] Les uns, en venant ici, ont vaincu le démon ; les autres, allant au théâtre, ont été vaincus : « Qui ad Ecclesiam cucurrerunt, vincerunt diabolum ; qui elegerunt amphiteatrum, victi sunt. » (Serm. 90.
Si quis autem præsentem canonem contempserit, et se alicui eorum quæ sunt vetita dederit, si sit clericus, deponatur ; si laicus, segregetur37. » Un canon plus moderne, il est d’un concile qui se tint à Paris en 829, est conçu en ces termes : « Il convient mieux à des chrétiens de gémir sur leurs égarements passés, que de courir après les bouffonneries, les discours insensés, les plaisanteries obscènes des histrions.
Ainsi parlait l’Empereur Julien dans l’éloge de la ville d’Antioche : on y voit tant d’Acteurs, danseurs, sauteurs, joueurs d’instruments, qu’il y a plus de Comédiens que de citoyens : « Plures sunt Histriones quam cives. » (Misopogon. pag. 342.)
De se sunt peccata mortalia. […] Arcendi sunt publicè indigni, quales sunt excommunicati ; manifestè infames, ut meretrices… Comœdi. […] Ce sont ces maximes, qu’il est particulierement ordonné aux Prédicateurs & aux Confesseurs de suivre, & d’enseigner dans leurs Sermons & dans leurs Instructions » disent les Rituels de Toulon, Macon &c &c &c, voici ce qu’il faut nécessairement en conclure : l’Eglise, aussi essentiellement Sainte, qu’infaillible, ne peut garder le silence, quand on abuse de son nom & de son autorité, pour accréditer publiquement des erreurs, des injustices & des scandales : quœ sunt contra fidem, vel bonos mores, nec tacet, nec facit, nec approbat Ecclesia.
Thomas, à ceux qui n’ont point de pénitence à faire pour leurs péchés : Quamvis possit his sine peccato intendi, in pœnitentia tamen hæc sunt vitanda. […] Toute cette doctrine n’est rien moins que l’approbation du théatre, elle en est la condamnation : Mortaliter peccant histriones inhonesta representantes, & quamvis in se se clusis omnibus impuris ludi sint indifferentes, tamen quia multa mala contingit in his fieri, ideo reprehendenda & detestanda sunt theatra.
Segniùs irritant animos demissa per aurem, Quàm quæ sunt oculis subjecta fidelibus…
Violatores canonum graviter à sanctis patribus judicantur et à sancto spiritu, instinctu cujus dictati sunt, damnantur.
» « Omnia sunt a Deo, etc. »liber De spectaculis, chapitre 10. […] Salvien de son temps, reprochait aux Chrétiens qu’on ne pouvait se souvenir de ce qui se disait aux Comédies« Talia sunt quae, etc. »lib. 6. de Provident. […] « Omnia sunt a Deo, etc. »liber De spectaculis, chapitre 10. […] « Talia sunt quae, etc. »lib. 6. de Provident.
adoptées par tous les auteurs : Fucare pigmentis quo rubicundior vel condior appareat adulterina fallacia est, quam non dubito etiam ipsas maritas nolle decipit quibus socis permitenda sunt fœminæ ornari secundum veniam, non secundum imperium, nam verus ornatus maximi Christianorum vel Christianorum non tautum, nullus fucus mendax, verum nec auri quidam vestisque pompa sed boni mores sunt.
« Segnius irritant animos demissa per aures, Quam quæ sunt oculis subjecta fidelibus. » « Millep. 38. […] « Quo magis sunt eloquentes qui flagitia ista finxerunt, eo magis sententiarum elegantia persuadent ; et faciliùs inharent audientium memoriæ versus numerosi et ornati », dit Lactance, de vero Dei cultu, c.
Il faut avoir des yeux pour pouvoir l’admirer : car sans yeux on ne l’admirera pas ; de même, il faut avoir un cœur pour sentir et apprécier la Vertu, car sans son cœur sensible et disposé à la trouver belle, on en ferait en vain le portrait le plus flatteur et le plus flatté. » Le grave Muralt ni vous n’avez entendu selon moi ce passage d’Aristote : « Comœdia enim deteriores, Tragœdia meliores quam nunc sunt imitari conantur. »bn Voilà comme je crois qu’il doit être expliqué et entendu, car la Tragédie doit représenter les hommes comme meilleurs, et la Comédie comme plus vicieux qu’ils ne sont ordinairement, où qu’ils ne le seraient dans le temps préfixe qu’ils occupent la scène. […] Voilà comme les hommes en un mot doivent être peints au Théâtre, deteriores vel meliores quam nunc sunt, plus méchants ou plus vertueux qu’à leur ordinaire.
.), parlant des spectacles, défend aux Chrétiens d’aller dans des lieux où l’on entend des blasphèmes et des invectives contre la religion : « Ubi sunt blasphemia et maledicta, Christiani non accedant. » Du temps de Trajan et de Dioclétien, le théâtre mêlant sa voix à celle de Celse et de Porphyre, blasphémait ouvertement le christianisme, comme il paraît par le martyre de S. […] La piété des Païens nous instruit ; l’Ecriture s’en sert pour nous confondre : « Transite ad insulas Cethim, et ipsi non sunt Dii. » Leur irréligion facilite, prépare celle des Chrétiens.
12), où on met les Comédiens sur la même ligne que les voleurs et les femmes publiques : « Arceantur ab hac mensa omnes vitiorum dedecore infames, quales sunt fures, Meretrices, Histriones. » L’Apôtre nous défend même de manger avec eux : « Quibuscum versari et cibum capere prohibet Apostolus. » Voilà, selon les Interprètes, une vraie excommunication : les sacrements sont refusés aux pécheurs, le commerce de la vie ne l’est qu’aux excommuniés : « Ne cibum sumere. » Dans la province de Cambrai, un synode de l’an 1550 tient le même langage : Qu’on n’admette pas à la communion « les excommuniés, les interdits, les femmes publiques, les Comédiens », « excommunicatus, interdictus, meretrices, Mimi, Histriones ». […] Le rituel de Paris de l’an 1654, dit en termes exprès (p. 108.) : « Arcendi sunt à comunione manifeste infames, ut Meretrices, Concubinarii, Comœdi. » On trouve les mêmes choses Rituel de Cahors de 1604.
Ils sont si changés qu’ils ne sont plus connoissables : Non sunt cogniti in plateis. […] Ces gens qui s’estimoient tant, sont méprisés comme des pots de terre : Reputati sunt vasa terrea. Ils sont ensevelis dans l’ordure, & n’embrassent que le fumier : Amplexati sunt stercora.
Convocatis ad nostra comitia celebriorum Collegiorum Moderatoribus, ad tuendam universi studis disciplinam, decreta hæc statutaquè sunt. […] C’est ce qui fait dire à saint Augustin, qu’ils trouvent de plus grandes douceurs dans leurs larmes, que les gens du monde n’en trouvent à la comédie, « Dulciores sunt lacrymæ Pœnitentium, quam gaudia theatrorum. » C’est donc ce qui est cause que les Pères de l’Eglise ne leur proposent le plus souvent que des plaisirs tout spirituels. […] « Ipsa sunt spectacula utilia, salubria, ædificentia, non defluentia. » Mais parce que la plupart des Chrétiens sont devenus tout charnels ; les Pères se rabaissants à leur faiblesse, leur proposent encore d’autres divertissements, qui sont à la vérité plus grossiers : mais qui ne laissent pas d’être très innocents.
Etatis cujusque notandi sunt tibi mores.
Dans tout l’Orient une femme ne sort de chez elle que voilée : Ces femmes Payennes vous jugeront, dit Tertullien ; elles cachent si bien leur visage qu’elles ne laissent qu’un œil ouvert : Uno oculo liberato contentæ sunt dimidiâ luce frui quàm faciem prostituere. […] Meliora sunt ubera tua vino.
Les vices des Comédiens sont si grands que la comédie elle-même ne saurait les peindre : « Tanta sunt Histrionum vitia, quanta non possit vel ipsa comœdia exprimere. […] corruptela signa sunt.
La glose commune sur ce texte, dit ces mots : « Ad literam quoque omnia hæc et similia servanda sunt »av. […] Si on réplique, qu’il ne parle que des excès des Païens, et qu’il faut distinguer entre les Bateleurs des Païens, qui sont à condamner, et les bateleurs des Chrétiens, qui doivent être libres Ubi sunt ludi Scenici, nisi in rebus Divinis ? […] Col. 4. 1 Th. 5 co Ubi sunt ludi Scenici, nisi in rebus Divinis ?
Non sunt facienda mala ut eveniant hona. […] Il l’attribue à ce qu’elles n’alloient pas aux spectacles, elles y eussent bientôt perdu ce tresor : Nullis spectaculorum illecebris sunt corrupta .
[NDA] Psalm. 55. « In me sunt Deus vota tua quæ reddam laudationes tibi : Quoniam eripuisti animam meam de morte, pedes meos a lapsu : Ut placeam coram Deo in lumine viventium. […] [NDA] Isa. 3. « Princeps quæ digna sunt principe loquetur.
Le passage suivant, tiré d’un ancien auteur latin très-souvent cité, confirme bien mon opinion sur les effets irritants de l’action théâtrale : Segniùs irritant animos demissa per aurem Quam quæ sunt oculis subjecta fidelibus.
Tels le recueil des Epigrammes de Martial : Sunt bona mixta malis, sunt mala mixta bonis .
En un mot tout ce qui se passe au théatre est infame, turpissima sunt.
Paul exhorte les Chrétiens à le racheter en multipliant leurs bonnes œuvres : « Redimentes tempus, quoniam dies mali sunt. »Ephes. 5. 16.
.° Res omnes sunt difficiles ; nec potest eas homo explicare sermone. […] 10.° Notitia in nobis est, … omnium qua sub sole sunt.
Cuncta in Spectaculis turpissima sunt, verba, vestitus, incessus, voces, cantus, modulationes, oculorum eversiones, ac motus tibiæ, fistulæ.
hæc opera atque hæ sunt generosi Principis artes.
HISTOIREDES OUVRAGES Pour & contre les Théatres Publics. Il parut sur la fin du dernier siecle un Livre intitulé : Histoire & Abrégé des Ouvrages Latins, Italiens & François, pour & contre la Comédie & l’Opéra, Orléans, 1697. Cet Ouvrage, qui a pour Auteur M. Lalouette, est dogmatique & historique. On y trouve dans la partie dogmatique un exposé de la Doctrine de l’Ecriture sainte, des Conciles & des Peres de l’Eglise sur la Comédie.
Paul : Non sunt facienda mala, ut eveniant bona.
Orbis deliciæ, salesque Nîli, Ars, & Gratiæ, Lusus, & Voluptas, Romani decus & dolor Theatri, Atque omnes Veneres, Cupidinesque, Hic sunt condita, quo Paris sepulcro.
Elmire est une tartuffe, une hypocrite de crime, comme Tartuffe un hypocrite de vertu ; ce qui n’est pas tolérable, même par jeu, même pour une bonne fin : Non sunt facienda mala ut eveniant bona, sur-tout dans un genre de vice où la seule perspective est dangereuse, les approches insoûtenables, le regard, le désir un crime devant Dieu : Qui viderit ad concupiscendum, jam mæchatus est in corde.
« Non est ambitiosa, non quærit quæ sua sunt, non irritatur, non cogitat malum.