C’est à la Tragédie à peindre l’horreur du crime, ainsi que tout ce qui peut nous attendrir, nous déchirer.
Il y a une sorte de Tragédie, par laquelle on a de coutume de raconter par carmesb les offenses, qu’on a commises.
[NDE] Grégoire de Nazianze (329-390), Christus Patiens, tragédie sur la passion du Christ composée à partir de vers d’Euripide. […] [NDE] Abraham sacrifiant, tragédie composée par Théodore de Bèze en 1550 (éd. Patrizia de Capitani, in La Tragédie à l’époque d’Henri II et de Charles IX, vol. 1, 1, Florence Paris, Olschki PUF, 1986, p. 15-54).
« Pour moi je crois entendre chaque Spectateur dire en son cœur à la fin de la Tragédie : Ah ! […] « La Tragédie chez les Grecs n’étant d’abord jouée que par des hommes, on ne voyait point sur leur Théâtre ce mélange scandaleux d’hommes et de femmes, qui fait des nôtres autant d’Ecoles de mauvaises mœurs.