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226. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [G] » pp. 408-415

Comme il n’y avait que les Portiques & le bâtiment de la Scène qui fussent couverts, on était obligé de tendre sur le reste du Théâtre des voîles soutenues par des mâts & par des cordages, pour défendre les Spectateurs de l’ardeur du soleil.

227. (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre premier. Origine des Spectacles. » pp. 1-14

Mais leurs succès n’en imposèrent point aux savants des deux derniers siècles ; on les vit s’élever contre des poèmes dont la perfection littéraire ne tendait qu’à augmenter encore l’empire des vices.

228. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. Madame de Longueville. » pp. 40-83

Tandis que cette belle souveraine regne sur la ville de Paris, ce tendre amant regne sur la souveraine, dirige, suspend, avance, frappe les coups, selon ses intérêts secrets ; car il entretenoit des liaisons avec la Cour, & selon le vent favorable ou contraire qui y souffloit, il faisoit marcher son vaisseau ou le mettoit en panne, prenoit le vent au plus près ou bravoit l’orage. […] Le Maréchal, plus guerrier que tendre, s’en consola, & ne s’occupa que de la guerre. […] Au milieu de ces troubles elle pensoit aux Carmelites, se repentoit de n’être pas religieuse, leur écrivoit des lettres de dévotion, comme une novice, & avec la même plume elle en écrivoit de tendres au Duc de la Rochefoucault, pour l’inviter à presser la guerre, & au Roi d’Espagne, pour lui demander des troupes : elle composoit même les lettres que sa famille ne faisoit que copier.

229. (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE I. L’obscénité du Théâtre Anglais dans le langage. » pp. 1-92

Ce sont là sans doute les choses tendres que M. […] Sa narration néanmoins est dans la bienséance ordinaire : les sentiments y sont élevés et tendres à la fois ; ils ravissent et touchent ; ils font naître l’admiration et la piété ; et rien davantage. […] Ménélas et Hélène savent se modérer sur l’agréable surprise de se revoir après une longue absence :Helen. 277 leurs plus tendres expressions ne portent aucune mauvaise idée avec elles.

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