/ 643
613. (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE III. En quoi consiste le Plaisir de la Tragédie, & de la grande émotion que causoient les Tragédies Grecques. » pp. 49-62

Dans l’Antigone un Pere arrive tenant dans ses bras son Fils qui vient de se tuer ; on lui présente en même tems le corps de sa Femme qui vient aussi de se donner la mort ; c’est lui qui est la cause de ces deux cruels Evenemens, & il se trouve entre ces deux cadavres.

614. (1731) Discours sur la comédie « TABLE DES MATIERES CONTENUES DANS CE VOLUME. »

Beaux Vers de ce Prélat contre les Spectacles, 309 Grégoire Evêque d’Antioche, joué sur le Théâtre, 134 Guiart des Moulins, bon écrivain pour son temps, 204 Guzman Jésuite, sa réponse à ceux qui se servent de l’autorité des défenseurs du Théâtre pour y aller, 290 H Harlay (M. de) Archevêque de Paris, son éloge, 15 Héliogabale Empereur, est lui-même Comédien, 67.

615. (2019) Haine du théâtre: Bibliographie France (traités, pamphlets, documents, etc.)

→ Texte : Livre I, Epistre dixiesme [À Eucratius] : « On peut conjecturer par ceste Epistre, en quelle detestation on avoit le temps passé les Basteleurs et joueurs de passe-passe, veu que par ceste Epistre S.  […] : « Il est temps de parler », p. 27-36, in Lettre au public sur la mort de Messieurs de Crébillon, Censeur Royal, Gresset, de l’Académie Françoise, Parfaict, Auteur de l’Histoire du Théâtre François, Par l’Auteur des Anecdotes de l’Empereur, Paris, Durand et Ruault, 1777, 36 p. […] De l’usage que nous devons faire de nôtre temps. […] Suffren, L’Année Chrestienne, 1640 • Suffren, Jean (16..-17.. ; SJ) : L’Année Chrestienne ou le Sainct et profitable employ du temps pour gagner l’Eternité. […] Contenant instruction, & Resolution de la Question : Assavoir, Si tels esbats, & passe temps sont permis aux Chrestiens.

616. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre IV [III]. La Grange & Destouches. » pp. 90-114

On seroit peu surpris que Moliere & des Poëtes sans caractere fussent partisans de cette corruption de mœurs ; mais qui s’attendroit qu’un homme que le maniement des affaires d’Etat a mis à portée de connoître & de vouloir le bien public, & en qui la confiance du Prince suppose de la sagesse & de la vertu, ait enfreint une loi si sage dans le temps même de son ministere, & autorise à l’enfreindre par l’exemple qu’il en donne ? […] Il lui donne de très-bonnes leçons, qui confirment ce que nous venons de dire ; tant les hommes sont différens d’eux-mêmes quand ils parlent naturellement à leurs amis, ou au public avec quelque apprêt : Je vous crois guéri de la fureur dramatique dont vous étiez possédé, mais je vois bien que vous êtes aussi Français que moi, & qu’un jour de bon temps vous fait oublier une année de fatigue.

/ 643