/ 131
96. (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE III. Suite du Mariage. » pp. 55-79

Encore une fois, les gens de bien ne sont point acteurs : on y bénit le Seigneur, on le remercie des biens qu’il a faits, on le prie d’accorder ses graces aux deux époux : Epulati sunt benedicentes Deum.

97. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE V. Des Pièces tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 96-119

Dieu ne se communique qu’aux âmes simples qui l’adorent en esprit et en vérité, l’homme animal n’y saurait rien comprendre : « Animalis homo non percipit ea quæ Dei sunt. » Les spectateurs méritent-ils mieux de voir ouvrir les sceaux de ce livre adorable ?

98. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE IV. Suite des effets des Passions. » pp. 84-107

« Abominabiles facti sunt sicut ea quæ dilexerunt.

99. (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  HISTOIRE. DES OUVRAGES. POUR ET CONTRE. LES THÉATRES PUBLICS. — NOTICES. PRÉLIMINAIRES. » pp. 2-100

Harum artium multi discipuli sunt, multique doctores. […] Ex illo tempore in urbibus Romanis hæc mala (Spectacula) non sunt, ex quo in Barbarorum jure esse cæperunt.

/ 131