Encore une fois, les gens de bien ne sont point acteurs : on y bénit le Seigneur, on le remercie des biens qu’il a faits, on le prie d’accorder ses graces aux deux époux : Epulati sunt benedicentes Deum.
Dieu ne se communique qu’aux âmes simples qui l’adorent en esprit et en vérité, l’homme animal n’y saurait rien comprendre : « Animalis homo non percipit ea quæ Dei sunt. » Les spectateurs méritent-ils mieux de voir ouvrir les sceaux de ce livre adorable ?
« Abominabiles facti sunt sicut ea quæ dilexerunt.
Harum artium multi discipuli sunt, multique doctores. […] Ex illo tempore in urbibus Romanis hæc mala (Spectacula) non sunt, ex quo in Barbarorum jure esse cæperunt.