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207. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE VII. Sentimens des Prédicateurs. » pp. 168-180

Il suffit de courir volontairement le danger de la perdre, pour l’avoir déjà perdue.

208. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre VI. Des Sçènes. » pp. 257-276

Les Drames du grand Corneille serviront aussi d’éxcuse aux Poèmes du nouveau genre : il me suffira de prier le Lecteur de se rappeller le Cid, le chef-d’œuvre du Théâtre Français, qui eût la gloire de donner naissance au proverbe, cela est beau comme le Cid.

209. (1665) Lettre sur les observations d’une comédie du sieur Molière intitulée Le Festin de Pierre « [Lettre] » pp. 4-32

Ce n’est pas que je veuille prendre le parti de ceux qui sont dans ce doute, il suffit pour mériter le foudre qu’il fasse voir par un signe de tête qu’il est athée, et pour moi, je trouve avec bien d’autres que ce qui fait blâmer Molière lui devrait attirer des louanges et faire remarquer son adresse et son esprit.

210. (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE VI. Où l’on examine si le Bal public proposé par M. Rousseau ne serait pas plus préjudiciable aux mœurs de Genève, que le spectacle qu’il proscrit. » pp. 211-224

Quant aux Tyrans, on n’en a besoin nulle part : il suffit de les montrer ; et vous n’ignorez pas les motifs qui portent nos Auteurs à les produire sur la scène : c’est pour en faire l’objet de l’exécration publique, et quelque bien établie que soit à Genève la haine de la Tyrannie, il n’en est pas moins sage de justifier, de nourrir et de fortifier cette haine par les tableaux des horreurs que les Tyrans ont su commettre.

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