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134. (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « EXTRAIT Du Journal de Trevoux ; Mois d’Avril 1753. Art. XXXIX. » pp. 59-70

Pour ne prendre qu’un honnête délassement à une Scène dont le jeu réunit tant d’objets si capables de faire des impressions contraires à l’honnêteté, quelle violence ne faut-il pas faire à ses sens & à son imagination ! […] C’est, nous disent-ils, c’est du Théâtre que la volupté assiége tous les sens du corps & toutes les facultés de l’ame.

135. (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXIII. Si les Comédiens doivent prendre le titre de Compagnie. » pp. 122-128

d’où peuvent naître celles-ci plus abondamment, que des différens sens attribués à un même mot ?

136. (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XIV. La comédie considérée dans ses Spectateurs. » pp. 30-33

« ce que c’est en l’homme qu’un certain fond de joie sensuelle, & on ne sait quelle disposition inquiéte & vague aux plaisirs des sens, qui ne tend à rien, & qui tend à tout.

137. (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « XII. » pp. 58-61

C’est peut-être, qu’elle était languissante dans le même sens que l’on dit : Qu’un discours est languissant, lorsqu’il est froid et n’a rien de vif.

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