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335. (1640) Lettre apologétique pp. 2-42

Quelle pénitence je vous prie peut-il imposer aux médisants, puisque lui qui est le patron, sur lequel le pénitent se moule, se trouve le premier coupable ; ou qui sera le plus criminel, lui qui vise toutes ses pensées à ce point, ou l’autre qui l’imite.

336. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre I. Convient-il que les Magistrats aillent à la Comédie ? » pp. 8-25

Les interlocuteurs sont Momus, Jupiter, Mercure, et le bon Jurisconsulte Accurse, fort étonné de se trouver dans une telle conversation, où l’on se répand sur toute la nature.

337. (1754) Considerations sur l’art du théâtre. D*** à M. Jean-Jacques Rousseau, citoyen de Geneve « Considérations sur l’art du Théâtre. » pp. 5-82

Je ne m’épuiserai pas en efforts superflus, pour vous prouver que les fêtes & les bals publics, que vous preferez aux spectacles, sont exposés aux mêmes inconveniens que vous reprochez au Theatre, où les deux sexes se trouvent également réunis. […] Si vous avez bien compté, vos moyens les plus plausibles paroissent renfermés dans le calcul que vous avez fait du nombre des spectateurs que votre ville peut fournir journellement ; mais par une fatalité qui semble attachée à toutes vos preuves, il faut qu’il y ait encore une erreur dans celle-ci, qui se trouve démentie par l’expérience.

338. (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE V. Réforme de Fagan. » pp. 110-128

Quand il se trouve dans une comédie quelque trait de bonne morale, il frappe d’autant plus qu’on s’attendoit moins à l’y trouver.

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