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268. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Quatorzième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 260-274

Je n’en sais rien : mais on m’a communiqué une Lettre, qui fait part à madame Du D** d’un trait tout semblable, arrivé depuis peu dans une Ville considérable de nos Provinces, & que je vais rapporter. — Mademoiselle de F***, élevée dès l’enfance dans le Couvent de C**, n’en était sortie que pour épouser un jeune Conseiller ; soit qu’il eût beaucoup de mérite, ou seulement celui d’être le premier objet capable de la toucher, qui se fût offert à sa vue, on dit qu’elle l’aima éperdûment.

269. (1761) Lettre à Mlle Cl[airon] « LETTRE A MLLE. CL****, ACTRICE. DE LA COMÉDIE FRANÇOISE. Au sujet d’un Ouvrage écrit pour, la défense du Théâtre. » pp. 3-32

Je ne vous rapporterai pas ici toutes les raisons invincibles dont il appuie son sentiment, je serais trop long ; et ce qui a été mis une fois sous les yeux du Public, n’a pas besoin d’être répété par lambeaux dans un Extrait.

270. (1665) Lettre sur les observations d’une comédie du sieur Molière intitulée Le Festin de Pierre « APOSTILLE » pp. 33-57

J'oubliais qu’il rapporte quelques exemples des anciens comédiens, mais il n’étale pas leurs ouvrages comme il a fait ceux de Molière.

271. (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre premier. Origine des Spectacles. » pp. 1-14

On rapporte communément l’établissement des spectacles de Paris à l’année 1398 ; que des bourgeois de cette ville se réunirent pour donner des représentations de la passion de Jésus-Christ, et pour vivre aux dépens de leurs spectateurs.

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