Comme donc la Comédie émeut et entretient les passions criminelles ; elle ne peut être ni approuvée, ni excusée, selon la maxime constante de Tertullien, qui ne souffre point de réponse, « nusquam et numquam excusatur quod Deus damnat ». […] « Tragediarum et Comediarum, quas nonnisi Latinas et rarissimas esse oportet, argumentum sanctum sit, ac prium neque quicquam actibus interponatur quod non Latinum sit ac decorum, nec persona ulla muliebris, vel habitus introducatur. » Il serait même à souhaiter, que ce que porte Mandement de Monsieur le Recteur de l’Université de Paris, fait en 1647. de concert avec Mrs. les Principaux des Collèges les plus célèbres, et publié en 1648. fût exactement observé, il fût fait contre la mauvaise coutume qui commençait à s’introduire, de faire paraître des danseurs aux intermèdes des Tragédies.
Ce fameux satirique faisant le portrait d’un Magistrat de province livré à ses plaisirs, et qui par les honneurs attachés à son rang se croyait un homme d’importance, disait de lui : « Sese aliquem credens Italo quod honore supinus, His manè edictum, post prandia Calliroen do.
Augustin, novam pestem … … quod est multo perniciosius moribus, intulerunt.
langage, sujet, habit, mélange de sexe, caractère de rôles, rien n’échappe au prudent législateur : « Tragediarum et comediarum quas nisi latinas et rarissimas esse oportet argumentum sit latinum et pium, nec quidquam actibus interponatur quod non sit latinum et decorum, nec persona mulieris vel habitus interponatur » (Reg. rect. de ration. stud. n.