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81. (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — Avertissement » pp. 72-80

Mais comme ces choses sont si claires et si évidentes qu'elles n'ont pas besoin de preuves; et que le dessein de cet ouvrage a été principalement de montrer que la Comédie moderne, revêtue même de toute son honnêteté prétendue, est un mal, et que les Pères l'ont condamnée par les endroits qui paraissent les plus innocents à ceux qui ne savent pas assez quelle est la sainteté de la morale chrétienne, il faut faire voir dans cet avertissement les sentiments de ces grands hommes sur ce sujet, recueillis en peu de paroles, afin que ceux qui liront les traductions suivantes aient moins de peine à les remarquer lorsqu'ils les trouveront répandus dans leurs Ouvrages.

82. (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE VIII. Actes de fanatisme et avanies exercés par quelques prêtres, contre des Comédiens français. » pp. 141-148

L’Espagne en offre aujourd’hui une preuve affligeante.

83. (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Seconde lettre contre les spectacles. » pp. 60-145

« Voulez-vous une preuve parlante, que les piéces du Théatre, pendant le regne du Paganisme, étoient souvent plus chastes, que celles d’à présent ? […] « Les piéces, dit-il, du Théatre François, sont des preuves de l’ignorance des Poëtes de notre tems. » On y embellit les vices. […] Nous en avons eu une preuve éclatante, qu’on ne peut se rappeller sans effroi. […] Je veux, ajoutai-je, que Mr. votre Confesseur soit éclairé &c, mais toutes ses lumieres empêchent-elles que les preuves, que je viens de vous donner, ne soient décisives ? […] Que pensez-vous de cette preuve, Madame ?

84. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre IV [III]. La Grange & Destouches. » pp. 90-114

Il auroit dû en rapporter des traits & en donner des preuves. […] Il en fait une dans sa Préface très-prudente parce qu’elle est très-courte, & très-peu convaincante parce qu’il se donne lui-même pour preuve. […] Il se cite lui-même en preuve.

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