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317. (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE IV. » pp. 68-81

Or, est-il possible, dit Tertulien1, que l’on pense à Dieu dans un endroit où Dieu n’est pas, où rien n’est analogue à son souvenir, où tout au contraire est propre à le bannir de votre esprit, à l’effacer de votre mémoire, où tous les objets qui s’y rencontrent sont autant de murs de séparation qui l’éloignent de vous, & qui le font perdre de vue ?

318. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre XI. Du jeu des Acteurs. » pp. 345-354

Le soin, peut-être minutieux, qu’ils ont de marquer la pantomime de leurs Drames, prouve combien ils craindraient de perdre, si l’on y manquait.

319. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre V. De la Parodie. » pp. 78-89

On n’en perd point un seul mot, tout est saisi, tout fait son éffet.

320. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Neuvième Lettre. De la même. » pp. 233-241

Les Ouvriers qui buvaient le Dimanche, quelquefois le Lundi, & qui par-là se trouvaient hors d’état de travailler le Mardi, vont aujourd’hui à la Comédie : ils en retirent cet avantage, que lorsqu’ils buvaient, ils perdaient tout le jour ; au lieu qu’à présent, ils travaillent courageusement le matin, & ne donnent au Spectacle que quelques heures de l’après-midi ; temps le moins précieux, sur-tout en hiver, où l’on est obligé de se servir de chandelle.

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