Sois heureux ; jouis des biens qui te sont prodigués par la Nature ; goûte l’inexprimable volupté d’être homme & le roi de la moitié de la création ; aime tes parens, ton ami, ton concitoyen ; chéris celle dont le chaste sein renferme le plus grand des trésors, des hommes qui te devront le nom de père ; vis avec elle, dans une tendre, une paisible union ; voila les seules bonnes œuvres qui plaisent à l’Éternel, à ce Brama que tu révères.
Qu'y a-t-il de plus délicieux que l'amour de Dieu, le discernement de l'erreur, la révélation de la vérité, la liberté de l'esprit, la paix de la conscience, une vie pleine de bonnes œuvres, une mort sainte et tranquille ?
nos yeux cherchent en vain ce séminaire de héros, puissant en œuvres et en paroles : aurait-il disparu sans retour, et nos regrets seraient-ils donc sans espérance ? […] Comment a-t-il pu se résoudre à déparer ainsi lui-même un ouvrage aussi agréable que le sien, par une déclamation tout à la fois hors d’œuvre et injurieuse à la croyance de la majorité de ses concitoyens ? […] I des Œuvres de ce dernier. […] Morlhon, au premier tome des œuvres de d’Aguesseau.
Ils ne viennent donc pas de Dieu, mais du démon qui est l’ennemi de Dieu pour détruire l’œuvre de Dieu.