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42. (1731) Discours sur la comédie « a tres-haut et tres-puissant seigneur, monseigneur louis-auguste d'albert d'ally, duc de chaulnes, pair de france. » pp. -

Enfin, MONSEIGNEUR, que n’aurais-je pas à dire même en rapportant simplement ces différentes Expéditions en Flandres et dans la Franche-Comté, où Votre illustre Père se fit une réputation qui ne mourra jamais.

43. (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre I. Diversités curieuses. » pp. 5-37

Il mourut à quarante ans, après avoir demandé & reçu tous les sactemens d’une maniere édifiante, on peut ajouter héroïque. […] Le péril est fort grand dans ce moment, les cloches sonnent pour la vingt-deuxieme personne qui est morte aujourd’hui ; ce sera pour moi quand il plaira à Dieu. Il mourut, en effet, quelques jours après de la peste. […] Gourdan son confrere, qui vêcut & mourut en saint, avec ces deux vers latins & deux françois qui en sont la traduction. […] Du reste Santeuil changea de conduite, & mourut chrétiennement.

44. (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XVII.  » pp. 471-473

Meurs ou tue. » Et cependant en les considérant selon la raison, il n'y a rien de plus détestable ; mais on croit qu'il est permis aux Poètes de proposer les plus damnables maximes pourvu qu'elles soient conformes au caractère de leurs personnages.

45. (1675) Traité de la comédie « XVII.  » pp. 297-299

Meurs ou tue. » Et cependant en les considérant ces sentiments selon la raison, il n'y a rien de plus détestable.

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