Tout genre de vie qui contribue à obscurcir les lumières de l’esprit, à donner un emploi faux et une direction vicieuse à notre intelligence, à ne nous meubler la tête que de pensées frivoles, à allumer l’incendie de nos passions, à élever, en un mot, une barrière entre nous et l’esprit de Dieu, est dans tous les cas une cause certaine et une voie sûre de destruction, soit qu’il faille l’attribuer à une sensualité stupide, à une ignorance grossière, ou au coupable raffinement de nos plaisirs.
» Dans le même Manuel au titre des dispositions pour recevoir les Ordres, on lit ces mots Ibid. […] » Saint Antonin appelle des choses beaucoup déshonnêtes, par rapport à celles qui ne le sont que légèrement : autrement il s’ensuivrait qu’on ne pècherait point à représenter des choses déshonnêtes et à les voir ; ce qui est contre le sentiment des Pères et celui des Théologiens : on doit expliquer ce qu’a dit Sylvestre sur le mot Ludus, §. 8. dans le même sens. […] » En un mot, si la Comédie est ordinairement mauvaise dans la pratique, comme on l’a montré, elle ne peut point servir de divertissement. « Peut-on, dit l’Empereur Justinien Justin.
Sénèque, que l’on met de ce rang, fait un grand éloge des Mots & Sentences qui se trouvoient dans les Mimes de Publius-Syrus6, qui n’étoient, cependant, que des especes de Farces.
Ces grands mots de la Gazette de Monaco, art.