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52. (1541) Affaire du Parlement de Paris « Procès-verbal de l’action intentée devant le Parlement de Paris par le procureur général du Roi aux “maîtres entrepreneurs” du Mystère des Actes des Apôtres et du Mystère du Vieil Testament (8-12 décembre 1541) » pp. 80-82

Ils lui ont apporté une lettre de privilège qu’ils disent avoir obtenue du Roi, qu’ils ont présentée avec une requête au lieutenant criminel qui ne leur a voulu répondre. […] Le Royer ayant lesdites lettres, en demande en Châtelet la vérification, appelés les gens du Roibi. […] [NDE] Les lettres patentes adressées au Prévôt de Paris. […] [NDE] Il fait vérifier les lettres au Châtelet en faisant appel aux gens du roi. […] -J. de Mesmes, en tant que lieutenant civil au Châtelet, a répondu à la requête des maîtres entrepreneurs et authentifié les lettres patentes.

53. (1756) Lettres sur les spectacles vol.1 pp. -610

On réimprima aussi une seconde Lettre que le même Auteur avoit donnée en 1759, sous le titre de Lettre de M. […] Mais cela ne regarde point le sujet de cette Lettre. […] LE CHEVALIER DE ***, A qui la Lettre de M. […] On en a un exemple dans la Lettre que M. […] C’est ce dernier effet que sa Lettre à M.

54. (1752) Essai sur la comédie nouvelle « PRIVILEGE DU ROI. » pp. -

Fagan, s’il Nous plaisait lui accorder nos Lettres de permission pour ce nécessaires : A ces causes, voulant favorablement traiter l’Exposant, Nous lui avons permis et permettons par ces Présentes de faire imprimer ledit Ouvrage en un ou plusieurs Volumes, et autant de fois que bon lui semblera, et de le faire vendre et débiter par tout notre Royaume pendant le temps de trois années consécutives, à compter du jour de la date des Présentes. […] Commandons au premier notre Huissier ou Sergent sur ce requis, de faire pour l’exécution d’icelles tous actes requis et nécessaires, sans demander autre permission, et nonobstant clameur de Haro, Charte Normande, et Lettres à ce contraires ; car tel est notre plaisir. […] [NDE] Petit sceau apposé sur le tiret du parchemin qui attache les lettres scellées en chancellerie (Littré).

55. (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « IV. S’il est vrai que la représentation des passions agréables ne les excite que par accident.  » pp. 10-18

Vous dites que ces représentations des passions agréables, « et les paroles de passions dont on se sert dans la comédie » ne les excitent qu’indirectement, « par hasard, et par accident, comme vous parlez ; et que ce n’est pas leur nature de les exciter »Pag. 46-47 [« Lettre d’un théologien », page 47]. […] On dit, et c’est encore une objection de notre Auteur, « que l’Histoire, qui est si grave et si sérieuse, se sert de paroles qui excitent les passions  »Pag.47 [« Lettre d’un théologien », page 47]. […] Pag. 46-47 [« Lettre d’un théologien », page 47]. […] Pag.47 [« Lettre d’un théologien », page 47].

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