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43. (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXV. Conclusion de tout ce discours. » pp. 138-152

Ce n’est pas qu’en métaphysique, cette séparation soit absolument impossible, ou comme parle l’école, qu’elle implique contradiction : disons plus, on voit en effet des représentations innocentes ; qui sera assez rigoureux pour condamner dans les collèges celles d’une jeunesse réglée à qui ses maîtres proposent de tels exercices pour leur aider à former ou leur style ou leur action, et en tout cas leur donner surtout à la fin de leur année quelque honnête relâchement ? Et néanmoins voici ce que dit sur ce sujet une savante compagnie qui s’est dévouée avec tant de zèle et de succès à l’instruction de la jeunesse : Rat.

44. (1752) Lettre à Racine « Lettre à Racine —  RACINE. A Mlle. Le Couvreur. » pp. 77-80

 Mon amour forma sa jeunesse.

45. (1758) Lettre de J. J. Rousseau à M. D’Alembert « JEAN-JACQUES ROUSSEAU. CITOYEN DE GENÈVE, A Monsieur D’ALEMBERT. » pp. 1-264

S’aperçoit-on que les entretiens de la halle échauffent beaucoup la jeunesse qui les écoute ? […] Aux plaisirs permis dont on prive une jeunesse enjouée et folâtre, elle en substitue de plus dangereux. […] La jeunesse, ayant des rendez-vous sûrs et honnêtes, serait moins tentée d’en chercher de plus dangereux. […] où sont les jeux et les fêtes de ma jeunesse ? […] J’exhorte cette heureuse jeunesse à profiter de l’avis qui termine votre article.

46. (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre premier. Des Spectacles des Grecs. » pp. 3-6

Pour ce qui est de leurs divertissemens, il s’en trouve peu de choses dignes d’vne remarque particuliere : on y courut sur des Chariots attelez de deux Iuments : la jeunesse se piqua de courre aussi vîte qu’elles : & enfin la gloire de la course & de la vitesse s’y disputa en toute façon, tantost à pied, & tantost sur les meilleurs & les plus legers coureurs.

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